Séduction délicate de la soeur de ma mère (29)
Datte: 28/04/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... beaux. Quitte à me répéter, j’avais littéralement craqué sur ceux de Véro. Ils étaient élancés et ses orteils si fins, si harmonieux dans leurs tailles frôlaient la perfection. Ses ongles parfaitement coupés étaient recouverts d’un vernis rouge corail et en palpant sa voute plantaire, j’éprouvai un sentiment jouissif. Tout en soufflant dessus, j’effleurai de mes lèvres le bout de ses orteils sous les yeux éblouis de ma blonde. Prise à mon jeu, elle les releva progressivement pour me permettre de les prendre en bouche. En suçant les pieds de ma tante, je réalisai un fantasme débile, me rappelant les petits déjeuners qu’elle faisait le matin avec ma mère, en robe de chambre. Elle balançait son pied nu, les jambes croisées et je la voyais pour la saluer, juste avant de partir au lycée. Ce fut peut-être à cette époque que cette idée saugrenue fit son petit chemin, dans ma tête rêveuse d’adolescent. Dorénavant, elle était allongée et se délectait du spectacle offert par son neveu. — T’es quand même le premier à me sucer les pieds ! S’exclama-t-elle faussement étonnée. — Ils sont si beaux et c’est tellement rare chez une femme. En suçotant le bout de ses orteils. — Oui mais il est tard Patrick…on continuera une autre fois, je veux avoir les idées claires pour demain. Je n’avais l’intention d’en rester là. J’avais ses mollets si bien galbés en main et ma langue léchait le dessus de ses orteils à la peau satinée. Tout naturellement, mon sexe cria famine et mes mains entreprenantes ...
... caressèrent l’intérieur de ses cuisses fuselées. Ainsi, je délaissai ses pieds délicieux en l’incitant à se rapprocher. Véro ne broncha pas et sans un mot, se déplaça jusqu’au bord du lit. Au moment d’égarer ses jambes, la confusion régna dans son esprit. — Euh…tu devais juste me masser les pieds… on avait dit pas plus ! …maintenant, après mes pieds…je suppose que tu veux prendre soin de moi… Précisa-t-elle, les jambes écartées. — Tu devines tout. En évitant de me précipiter sur sa féminité. — Avec toi, ce n’est pas très difficile…tu me désires de partout. Ajouta-t-elle d’un ton blasé, mais teinté d’une fierté cachée. En débutant mon cunnilingus, je remarquai son visage contrarié. Je léchai ses grandes lèvres par des mouvements amples, mais je dus m’interrompre au regard de ce comportement inédit. J’avais ma main posée sur son ventre plat et ma bouche était recouverte de son excitation, mais quelque chose ne tournait pas rond. — Quoi Véro ? Tu penses à demain ? L’interrogeai-je en parsemant sa féminité de plusieurs baisers. — Oui et je n’y suis pas…ne m’en veux pas, savoir que je vais les voir et te voir en train de me…ça m’ennuie. Dit-elle en se reculant pour coucher sa tête sur l’oreiller. — Je comprends et je ne vais pas te forcer, n’y pensons plus… Lui répondis-je en me redressant debout, avec le sexe dans un état facile à imaginer. — Hannn…je vois bien que tu en as envie…alors viens quand même…après tu vas me faire des reproches, je sais comment tu es…mais on fait vite. ...