1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (29)


    Datte: 28/04/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... Râla-t-elle en ôtant sa chemise de nuit, puis en écartant à nouveau les jambes pour me recevoir. Le terme - on fait vite - résonna pour moi comme une sorte de dévouement de sa part et comme si je lui faisais pitié. Normalement j’aurais dû l’envoyer paître, du fait de cette espèce de charité déplacée envers moi. Elle voulait le faire pour en être débarrasser et je l’avais compris de cette manière. Ma grande blonde m’attendait donc, le sexe à l’air avec ses longues jambes ensorcelantes et ses seins vigoureux. Elle avait un peu mouillé sans gémir, sans émettre le moindre son durant mon cunni interrompu. La voir à poil avec cette peau blanche lui conférant une sensualité extrême, ainsi que son ventre se mettant en retrait à chaque expiration eut raison de moi. En mettant ma dignité de côté, je m’accroupis face à elle et sans perdre de temps, je guidai mon sexe vers la chaleur de sa source. Sur le coup, un sentiment égoïste m’interpella et Véro en remit une couche, peu flatteuse à vrai dire. — Dépêche-toi Patrick…tu sais donc que je n’aime pas être comme ça, devant toi. En soulevant son bassin, signe de son impatience. — Tu veux que je fasse vite ? Lui demandai-je avec mon sexe à l’orée de sa fente. — Oui si tu veux bien. Répondit-elle sèchement. Au passage, elle avait jeté un coup d’œil furtif sur mon anatomie, plus que bien portante. Elle n’avait pas une grande envie d’après ce qu’elle venait de me dire, mais avec ce coup d’œil de dernière minute, elle devait être mitigée, ...
    ... partagée dans son désir de copuler et son envie d’en finir. En la pénétrant, j’observai attentivement son visage sans expression. Ainsi il me fallut l’apprivoiser en débutant par de lents va et vient. Véro se contenta de poser ses mains sur mes flancs, toujours absente durant ce coït étrange. Puissamment je rentrai au fond d’elle pour m’en éloigner ensuite. Volontairement, je gardai mon rythme paresseux hautement érotique et quelques caresses apparurent enfin. Elle se décontractait de plus en plus, mais par pur orgueil, elle ne montrait rien de son plaisir sous-jacent. La sachant inquiète et contrariée pour demain, je la dirigeai verbalement avec des mots forts. — Qu’est-ce que je t’aime toi. En approchant mon visage du sien. — Moi aussi Patrick. Ajouta-t-elle sans fuir mes lèvres réclamant les siennes. — T’es ma reine, ma complice…tu es dans ma vie Véronique. En échangeant un baiser léger et en remarquant qu’elle me caressait le dos dorénavant. — Oui…j’aime ce que tu viens de dire…et continue à ce rythme… Poursuivit-elle sans manifester plus d’enthousiasme. Me soumettant de bonne grâce à son exigence, je prolongeai mon œuvre. Ma longue verge disparaissait dans sa fente, pour émerger d’entre ses lèvres en marquant un temps d’arrêt, le temps d’échanger un regard. Elle était fabuleusement belle à baiser, malgré son comportement éteint. Elle ne s’imaginait pas le pied que je prenais à la pénétrer de la sorte. J’entrais en elle avec une lenteur exacerbée, m’imbibant à chaque allée de ...
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