Séduction délicate de la soeur de ma mère (29)
Datte: 28/04/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... la fièvre de sa féminité. En réalisant que nous serions chez mes parents le lendemain, je m’approchais un peu plus de l’interdit en la sautant et la voir réticente, preuve qu’elle culpabilisait, me renforçait dans l’idée de lui procurer une jouissance peu commune. Pour la sortir de sa coquille, je me redressai en jeune mâle conquérant, attrapant ses jambes pour les disposer sur mes épaules. En lui maintenant les cuisses et nonobstant ses exigences dépassées, j’imposai foncièrement des allers-retours plus soutenus, plus vifs provoquant une sensation intense à ma quadra jusque-là impassible. Bien malgré elle, sa respiration d’abord profonde se fit haletante et après un grand coup de reins dans son bas ventre, elle poussa un cri aigu. Comme un petit animal sauvage, je l’éduquai pour la faire mûrir. En reprenant un rythme langoureux, ma belle quadra se recroquevilla en plaçant ses pieds délicieux à hauteur de ma bouche. Ce fut bien la première fois que nous baisions en silence et tout en suçotant le bout de ses orteils, Véro en attrapa mes mains. Mais pour la disciplinée davantage, je conservai désormais cette cadence s’assimilant à un ennui profond pour ma grande blonde. Avec ses pieds en bouche, mon sexe perdu dans ses chairs et nos mains jointes, nous étions devenus ces deux étoiles qui devaient se rencontrer et qui allaient se coller pour jouir, pour jouir de toute éternité. — Fais plus fort. Soupira-t-elle, lassée de mon rythme mollasson. — Tu parles ? Dis-je, exprès pour ...
... l’entendre extérioriser ses sentiments. — Oui…et accéléré donc ! … S’écria-t-elle en s’énervant toute seule. — Et comme ça…ça te plait ? En délaissant ses pieds pour m’allonger sur elle. — Ah oui…là tu peux y aller ! S’exclama-t-elle telle une gosse à laquelle on aurait offert un tour de manège. — Jouis Véronique, jouis avec moi. En pilonnant comme un beau diable ma femelle mature, toute docile, toute ouverte à moi. — Hann ! …continue mon chéri…hann c’est bon…baise-moi…baise-moi à mort… En croisant ses jambes autour de ma taille avec la bouche ouverte. — T’es celle que j’aime… M’écriai-je à mon tour, emporté par une vague qui me fit chavirer. — Hann…hannn…hannnn… Grogna-t-elle le corps raide contre le mien. J’avais réussi. Nous ne parlions plus, nous ne pouvions plus parler. Nous nous roulions des pelles à n’en plus finir avec des langues coquines et des sourires lumineux. Nous étions aux anges, perdus dans notre monde. Nous avions démarré dans l’ignorance totale pour nous retrouver sous une avalanche émotionnelle. Véronique exulta, oubliant sa crise d’humeur. — Je suis bien ! Je suis bien ! …Han Patrick…ce que tu peux me rendre heureuse. M’avoua-t-elle. — Je sais tout ça, embrasse-moi ma reine ! Lui ordonnai-je avec mon sexe baignant dans son orifice repus. — Han…je vais devenir une accro du sexe avec toi…si tu continues comme ça…allez, baise-moi encore un peu… Me suggéra-t-elle en ouvrant la bouche pour un nouveau baiser. Je poursuivis encore un peu, juste pour le plaisir de ...