1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (16)


    Datte: 30/04/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... vengeance plutôt réussie pécuniairement. Tu as plus d’un demi-million d’euros avec ta soi-disant bêtise et en étant sincère, je suis moins blessé que toi. Le gosse était vierge ! Tu aurais baisé avec un gros porc ça aurait été insultant pour moi et puis il t’a juste sautée, rien de plus. En balançant dans ma dernière phrase la maladresse du siècle (!). — Mais comment sais-tu tout ça ? — Euh le père de Ken, enfin Zusu senior me l’a raconté. — Son fils lui a dit tout cela ! Ah j’ai trouvé ! Quelle conne je suis, c’était la glace et vous regardiez à travers. — Tu comprends vite. Ajoutai-je en attente de sa prochaine réaction. — Oh c’est pas vrai…vous avez tout vu, tout entendu…Zusu père m’a vue à poil pendant que…oh mon dieu… Se lamenta-t-elle en éteignant sa cigarette ou plutôt en l’écrasant d’énervement. — Que croyais tu ? Qu’il allait payer une telle somme en attendant tranquillement dans le salon. Si ça peut te rassurer il n’y avait que Zusu père et moi et il n’a pas arrêté de faire des éloges sur toi. Argumentai-je. — Et qu’a-t-il dit ? — Attends je vais te chercher un dernier verre. — Oui mais Patrick la suite ! — Ah j’oubliais… En prenant son verre, je lui faisais un petit baiser dans le cou. — Tu n’as pas changé, toujours aussi charmeur mon neveu ! En me faisant une caresse sur la joue d’une façon maternelle. En revenant de la cuisine, Véro avait allongé ses pieds sur ma chaise et en posant son verre, elle devint tout à coup mal à l’aise en repliant ses jambes. Il ...
    ... fallait que je la décoince au plus vite. — Tu aurais pu laisser tes pieds, tu sais bien que j’aime les dorloter. — Oui bon pas maintenant… alors il a dit quoi Monsieur Zusu ? Piaffant d’impatience. — Que tu étais un pur bijou quand il t’a vue à poil. — Arrête tes conneries Patrick ! Je suis encore pas trop mal mais faut pas exagérer ! Dit-elle en étant flattée intérieurement. — Il a même ajouté que tu étais la femme parfaite pour son fils et ensuite il n’a plus rien dit. Il n’est pas bavard tu sais. — Et bah…en voilà des choses. Abasourdie par toutes mes révélations. — Pour moi ça ne change rien entre nous. J’éprouve toujours les mêmes sentiments envers toi Véronique. En me levant avec les deux verres vides. — Mais que fais-tu ? Dit-elle en finissant son verre. — Je vais me coucher Tatie ! — Moi qui croyais qu’on allait passer une petite soirée entre nous… Ma tante était soulagée, soulagée que l’histoire de Paris n’ait pas écorché notre couple, soulagée de mon attitude envers Patricia et surtout soulagée par mes derniers mots envers elle. Puis le fait de me lever la poussait à aller de l’avant, pour une fois je voulais qu’elle soit demandeuse, même si je n’avais qu’une idée en tête. Nonobstant sa suggestion, je me dirigeais d’un pas paisible vers la cuisine, les deux verres en main en la laissant seule sur la terrasse. M’affairant à nettoyer les verres, Véro vint s’asseoir autour de la table et j’apercevais la ceinture de sa robe de chambre largement desserrée. La lumière de la ...
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