Nuit chaude à Balaruc-les-Bains
Datte: 30/04/2021,
Catégories:
ff,
vacances,
plage,
collection,
Voyeur / Exhib / Nudisme
init,
... nageur, en quelques brasses, je me trouvais face à la pointe de la jetée, non loin des deux filles. Avec l’aide du clapotis des vagues, ma tête restait presque invisible et, de là où j’étais, je pouvais admirer le spectacle, illuminé par les rayons de lune. Merci la lune. Elles aussi étaient nues. Si, en raison du moment, je ne voyais pas grand-chose de leur corps, je distinguais parfaitement leurs ombres. Elles s’embrassaient déjà goulûment, à pleine bouche. Leurs mains couraient sur leurs corps. L’une pressait les seins de l’autre qui, en réponse, semblait caresser son entrejambe. Confortablement installées dans les rochers, elles étaient tout à leur passion. Je m’approchais encore un peu, luttant un moment pour ne pas me faire drosser par le courant à leurs pieds. De là où je me maintenais, entre deux courants et deux eaux, malgré le léger bruit du ressac, j’entendais leurs respirations. Deux souffles de plus en plus ahanants et sifflants. Celle qui avait les cheveux mi-longs trifouillait dans l’entrejambe de sa copine et avait pris le dessus. Elle avait appuyé sa compagne contre les pierres, et, tout en continuant à lui caresser le sexe, embrassait ses seins à pleine bouche. L’autre, jambes écartées, tête renversée sur les pierres qui devaient encore être chaudes de la chaleur de la journée, dodelinait de la tête et, les deux mains dans les cheveux de sa compagne, lui pressait la figure sur sa poitrine. Bien que je sois dans une eau à la fraîcheur toute relative, le ...
... spectacle que m’offraient les deux femmes était en train de faire monter des tensions dans mon sexe. Or, nager sur place, lutter contre des courants, demande une assez grande disponibilité des mains et je ne pouvais pas aller me soulager, là tout de suite… Alors, j’attendis encore un peu… et continuai à zyeuter, sans honte. Quelques mouvements de natation pour me maintenir à distance raisonnable et un peu hors des courants, et mes yeux se reportèrent sur la jetée… Elles étaient maintenant tête-bêche…chacune léchant le minou de l’autre…bouches et nez devaient être suffisamment occupés pour que je n’entende plus rien, que le bruit léger du ressac… Alors, imperceptiblement, je me laissais porter par le courant marin, mon fidèle allié du moment. Bien sûr, malgré l’éclairage de la lune, je ne voyais pas grand-chose… Seulement les ombres qui se découpaient parfaitement sur la blancheur des pierres… Oui, mais quelles ombres… Les deux filles, l’une dans l’autre, jambes écartées, je distinguais de temps à autre le sein de l’une ou l’autre. Tétons pointus en ombre noire, qui venaient frotter la peau du ventre de l’autre… De temps en temps, je voyais une tête s’échapper des jambes ouvertes, monter vers le ciel et, là, je pouvais percevoir un gémissement, plus fort, qui couvrait le bruit de vaguelettes… De temps en temps, je distinguais une ou deux mains qui refaisaient surface, qui empoignaient des fesses pour mieux les écarter, et la tête qui plongeait encore plus loin… Alors, mon ...