L'exposition
Datte: 04/11/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
fépilée,
amour,
fsoumise,
hdomine,
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
fdanus,
init,
initfh,
fsoumisah,
... voitures pour rejoindre le restaurant. Solange a fait en sorte de se retrouver seule avec moi. Je conduisais. Pendant le court trajet, serrée contre moi elle m’embrassait dans le cou et sa petite main s’égarait timidement entre mes cuisses. Arrivés au parking, je l’ai prise dans mes bras ; bouche ouverte, elle attendait mes baisers ; jambes écartées, elle attendait mes caresses. Nos langues se sont enlacées ; d’une main je pétrissais ses pointes de seins turgescentes et de l’autre je remontais sous ses jupes. Pour la première fois elle avait des bas et un porte-jarretelles, son sexe parfaitement épilé mouillait abondamment. Elle gémissait sous mes caresses. Très vite, tout son corps a été parcouru des soubresauts de l’orgasme. — Ysan, mon chéri, tu me donnes un plaisir fou, mais moi je veux être toute à toi pour te satisfaire. Avec un savoir-faire que je ne lui connaissais pas, elle a sorti ma grosse bite pour l’avaler entièrement. Mon gland frottait au fond de sa gorge. En mon absence, Fatima avait dû lui donner des leçons. Indifférente à l’animation de ce parking des Champs-Élysées, elle suçait ma queue avec beaucoup d’application, comme une vraie pute professionnelle. Je n’ai pas tardé à décharger, elle a tout avalé, léchant consciencieusement les dernières gouttes. Quand nous sommes arrivés au restaurant, tous nos amis étaient déjà attablés. Solange était redevenue la comtesse de Saint-Hubert de Bois-Colombe, présidente d’une importance association caritative. Avec ...
... beaucoup d’aisance et sans aucun papier elle a prononcé un long discours de remerciements qui fut très applaudi. En moins d’une heure je venais de voir les deux facettes de sa personnalité. D’un côté une jeune amoureuse prête à satisfaire tous mes désirs, de l’autre une maîtresse femme qui gère son association comme un chef d’entreprise. Le repas terminé, tout le monde avait hâte de rentrer chez soi après cette longue journée. J’ai déposé Solange à son domicile. Le lendemain serait pour nous un grand jour. Comme convenu je devais la rejoindre chez elle avant notre départ pour Venise. Je suis arrivé à l’heure prévue, j’allais enfin découvrir la somptueuse résidence de Solange. Un majordome en livrée m’attendait à la grille du parc. Visage figé, allure hautaine, pas un mot d’accueil, manifestement il voulait me faire comprendre qu’il accomplissait là une mission indigne de son rang. Monté en voiture à côté de moi, il m’a guidé par gestes jusqu’au bâtiment principal. Sur le perron, deux servantes guettaient notre arrivée. Uniformes démodés et austères, visages fermés. Sans un mot, l’une d’elles s’est emparée de mes bagages et l’autre m’a accompagné jusqu’au premier étage. Quand nous avons traversé le vaste hall d’entrée, des portes s’entrouvraient discrètement, tout le personnel voulait voir l’intrus. Ma venue avait été annoncée, mais je n’étais pas le bienvenu dans cette grande demeure, il me fallait m’y résoudre. Le diable venait d’entrer dans la maison. Solange m’attendait dans un ...