L'exposition
Datte: 04/11/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
fépilée,
amour,
fsoumise,
hdomine,
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
fdanus,
init,
initfh,
fsoumisah,
... petit salon, le bouquet de roses que je lui avais fait livrer était en bonne place sur une commode. Elle portait une robe blanche serrée à la taille et dont le décolleté vertigineux laissait apparaître les pointes de ses seins au milieu d’un froufrou de dentelles, qui devait être un balconnet ou mieux une guêpière. La jupe très évasée était faite pour être troussée. Des talons aiguilles et des bas blancs complétaient cette tenue d’un érotisme charmant. Je reconnaissais la griffe de l’excellente maison de couture dirigée par mon amie Nady, qui avait su en peu de temps transformer une austère comtesse en une jeune femme élégante et désirable… Solange s’est pendue à mon cou et nous nous sommes embrassés avec fougue. Pendant que je la complimentais sur sa tenue, elle m’a fait asseoir dans un confortable fauteuil et m’a servi mon whisky préféré. À ma grande surprise elle s’est alors lancée devant moi dans une danse effrénée au son d’une salsa endiablée, la musique préférée de Fatima. En virevoltant elle laissait sa jupe se relever, me permettant d’entrevoir la large bande de dentelle blanche en haut de ses bas et l’amorce des jarretelles. Spectacle inattendu. En mon absence Fatima avait dû jouer au professeur et lui transmettre tout son savoir faire en ce domaine. J’étais fasciné quand elle s’est immobilisée pour relever lentement sa jupe. Elle n’avait pas de culotte et m’exhibait sans aucune pudeur son pubis parfaitement épilé, une vraie chatte de petite fille. — Maintenant je ...
... veux être toute à toi mon chéri, fais-moi tout ! Avant que j’aie eu le temps de réagir, elle m’avait tourné le dos pour relever à nouveau sa jupe et me présenter cette fois sa croupe admirable en se pliant en deux, les mains posées sur ses globes fessiers pour bien ouvrir la raie. J’avais son petit œillet à hauteur des yeux. J’ai glissé ma main dans son entrecuisse, elle mouillait abondamment. Sans ménagement, j’ai alors enfoncé deux doigts dans son petit trou qui était soigneusement crémé, là aussi sans doute sur les conseils de Fatima. Elle a d’abord eu un mouvement de recul, mais très vite s’est ressaisie, cambrant les reins pour faciliter ma pénétration et frétillant de la croupe comme une vraie petite chienne en chaleur. J’ai pu me rendre compte que Katy, l’esthéticienne, avait raison. Solange était très étroite derrière. Il me faudrait être prudent quand je voudrais la sodomiser, mais nous n’en étions pas là pour l’instant. Solange s’est relevée, je l’ai serrée contre moi tout en dégrafant sa robe. Perchée sur ses talons aiguilles, la taille bien prise dans la guêpière dont les jarretelles tendaient les bas blanc, elle m’a conduit vers la chambre, marchant devant moi en ondulant de la croupe comme une véritable professionnelle. Je l’ai prise dans mes bras pour l’étendre sur le lit. Cuisses écartées, jambes légèrement relevées elle était la jeune esclave vierge livrée à son maître comme je l’avais figurée sur l’une de mes toiles. Mon excitation était à son comble, je ...