Baby-sitting (20)
Datte: 01/05/2021,
Catégories:
Transexuels
20 Lorsque Karine revint dans la pièce, j’avais largement ouvert la combinaison de Ghislaine, afin de pouvoir lui dévorer les seins. Pendant que ma langue s’activait sur ses tétons raidis par le désir, je fis descendre au maximum la fermeture éclair. Je constatai qu’elle mouillait abondamment et devinai que son excitation avait certainement laissé des marques sur l’entrejambe! Karine, elle, avait gardé aux pieds les bottes de Ghislaine, mais avait remis son déshabillé rouge. Elle posa soigneusement sur le dos d’une chaise l’ensemble de cuir qu’elle avait jeté un peu n’importe où lors de son strip-tease. Ghislaine l’appela : — Viens là, viens… On va se donner du plaisir une dernière fois toutes les trois, et après, on lève le camp. Ca a été une très bonne soirée, mais je commence à être crevée! — Non, je peux pas… J’en ai marre. Je suis dégoûtée là! Tu vois, sincèrement, ça ne me fait même pas plaisir, ce qui vient de se passer! Ca me fout les boules d’avoir eu raison. — Arrête de te faire des nœuds au cerveau, Karine! Allez, viens… Approche-toi… Détends-toi! Elle obéit et se tînt debout devant elle. J’avais ressorti ma main de son entrejambe et j’embrassai à travers le cuir son ventre plat et ferme. Karine se relaxait au fur et à mesure que les longues mains de Ghislaine caressaient ses hanches et ses fesses à travers le satin de son déshabillé. Au bout d’un moment, elle se cambra, noua ses doigts dans la chevelure de la jeune femme rousse et guida sa tête jusqu’à son pubis. ...
... Je me levai alors pour me coller contre son dos et frotter ma queue à travers ma robe contre le satin rouge. Je plaquai mes mains sur ses cuisses et retroussai progressivement sa chemise de nuit jusqu’à la taille. Ghislaine embrassa sa toison pubienne et je sentis ses mains lui écarter les fesses afin que mon phallus coulisse encore mieux tout le long de sa raie. Devinant les pensées de Ghislaine, j’amplifiai et accélérai progressivement mes mouvements de va et vient. Karine remonta son bras droit pour me saisir par la nuque et se tordit le cou pour m’embrasser sur la bouche, puis elle se raidit soudainement et poussa un cri de jouissance. Je m’agenouillai alors devant Ghislaine qui était restée assise et lui enlevai ses bottes l’une après l’autre. Je portai la deuxième à mes narines et respirai avec délice l’odeur de la doublure en peau chauffée par ses pieds. Je tendis ma langue et la promenai sur le haut de la doublure. Finalement, je la reposai délicatement au sol. Elle me regarda en souriant. Je me redressai un peu et Karine m’aida à dénuder ses épaules. Dès qu’elle la fit se lever, je fis glisser très lentement le cuir de la combinaison sur ses hanches, puis sur son bassin et enfin sur ses cuisses effilées. Quand j’arrivai aux genoux, je plongeai la tête entre ses jambes pour lécher la cyprine qu’elle avait laissé échapper à l’intérieur de la combinaison. J’achevai de la dévêtir et collai ma bouche contre son sexe humide de désir. Karine se mit à lui caresser les seins ...