Baby-sitting (20)
Datte: 01/05/2021,
Catégories:
Transexuels
... moi qui ai eu l’idée, donc, c’est moi qui m’y colle, ah, ah, ah! — Et moi, je n’ai pas le droit de donner mon avis? Pour toute réponse, elle se plaça face à moi, saisit ma verge dans sa main gauche, écarta ses grandes lèvres de l’autre et la fit plonger dans son vagin en s’asseyant sur moi. Elle colla ses lèvres contre les miennes et bougea son bassin d’avant en arrière. Elle prit ses seins à deux mains et les frotta contre les miens, mais au bout d’une minute, elle dût céder la place à Ghislaine… Elle s’approcha, absolument nue, et après avoir retroussé encore un peu plus haut ma robe, elle s’assit sur moi afin que je la prenne en levrette. Elle enroula ses chevilles autour de mes mollets bottés et se renversa en arrière, pesant de tout son poids sur ma poitrine. Je saisis la sienne à pleines mains tout en embrassant ses longs cheveux roux. Elle avait une manière de contracter son bas-ventre tout en se cambrant sur moi qui me donnait l’impression qu’elle voulait aspirer mon pénis. A mon tour, je me cambrai pour maintenir mon corps à l’horizontale et la pénétrer ainsi plus profondément. Sentant que la minute allait arriver à expiration, elle accéléra son mouvement. Je poussai un grand cri et déchargeai alors en elle. Je la sentis sourire lorsque mon corps épuisé se laissa retomber sur le canapé. Sentant que je commençais à débander, elle se retira doucement pour s’asseoir à coté de moi. Je me sentais vidé comme je ne l’avais jamais été, mais pour rien au monde je n’aurais ...
... voulu céder ma place! Bonne perdante, Karine alla préparer du café. Pendant ce temps, Ghislaine enfila les sous-vêtements de cuir, les bas, ainsi que la jupe et les bottes bleues que je portais en arrivant. Le café était corsé et nous fit du bien à tous les trois. Il était à présent deux heures du matin. Ghislaine se leva et commença à desservir la table. — Karine, ça a été une soirée comme on en fait peu, je dois dire! Mais entre le peu de sommeil de la nuit dernière et les excès de plaisir, je ne tiens plus debout. Et puis, tu sais ce qu’on dit, "les meilleures choses ont une fin"! — Oui, tu as raison, il faut bien s’arrêter à un moment ou un autre. Tu fais quoi, Sam? — Je rentre avec Ghislaine, Karine. Je suis vraiment content de te connaître, mais… — On se reverra? Non, pas que toi et moi, je veux dire tous les trois… Je pourrais vous présenter Linda! On pourrait se faire une super soirée toutes les quatre! — Qui c’est, Linda? — C’est mon amie avec un grand ’A’. — Ouh là là, je sens le traquenard, moi! Ca y est, c’est ta haine des mecs qui te reprend, et tu veux me tuer, hein, c’est ça? — Arrête de dire des bêtises, Sam. Allez, file. Ne fais pas attendre Ghislaine, et fais très attention à elle! Une dernière fois, je me changeais : je rendis à Karine son slip arachnéen, ses cuissardes et sa robe. J’allais décoller les faux seins, mais elle posa sa main droite devant sa bouche tout en tendant son bras gauche devant elle : — Non, Sam. Garde-les! Ca me fait plaisir de te les ...