1. In sexo veritas


    Datte: 01/05/2021, Catégories: grp, facial, Oral pénétratio, sf,

    Le jet stratosphérique Boston-Paris se posa à l’aéroport Charles de Gaulle une heure après avoir quitté la Nouvelle-Angleterre. Lizzie McCormick posa enfin le pied sur le sol français. Francophile convaincue, elle rêvait de ce voyage depuis des années. Il lui avait fallu attendre Harvard et son sujet de thèse pour que son espérance devienne réalité. Son séjour était payé par le gouvernement américain, auquel elle avait réussi à vendre les futures conclusions de son travail de recherche. Elle était bien décidée à profiter du mieux possible du temps qu’elle passerait sur cette terre de romantisme, et notamment de mener à bien son étude très personnelle sur les mérites comparés des amants français et américains. Elle pénétra dans la salle des arrivées et scruta les personnes présentes à la recherche de son hôte. Thomas Dubois regardait la file interminable des mille deux cent quarante passagers que n’en finissait pas de déverser le couloir des arrivées. À chaque fois qu’il voyait une femme seule franchir la porte, il brandissait la pancarte mentionnant le nom de son invitée, espérant que l’Américaine ne soit pas le laideron en jupe orange ou l’obèse en survêtement. Son cœur fit un bond quand il vit une belle jeune femme brune aux cheveux longs, habillée d’un pantalon moulant et d’un chemisier très échancré, lancer un regard interrogateur sur l’assemblée. Pourrait-elle être celle qu’il attend ? Il agita le panneau dans sa direction. La jeune femme se dirigea vers lui. — Miss ...
    ... McCormick ?— Oui.— Thomas Dubois, je suis l’envoyé du ministère. Bienvenue en France.— Merci. Je suis très heureuse de fouler enfin le sol de votre pays.— Vous parlez très bien le français.— Je l’ai étudié très longtemps. J’aime beaucoup la France.— Eh bien, j’espère que la France sera digne de l’amour que vous lui portez. Je vais tout faire pour, ajouta-t-il intérieurement. — Mon administration n’a pas été très explicite sur la nature de votre mission, et par conséquent de la mienne. Je sais juste que je dois vous montrer tout ce que vous demanderez à voir, et vous expliquer tout ce que vous demanderez à comprendre. Pouvez-vous m’en dire un peu plus, Miss McCormick ?— Bien sur, c’est très simple. Mais peut-être pouvons-nous nous asseoir pour en discuter ?— Oui évidemment. Suivez-moi, nous disposons d’un petit salon privé où nous serons à l’aise. Le jeune fonctionnaire se fraya un passage parmi la foule des arrivants et des personnes venues les accueillir, ouvrant la voie pour sa charmante invitée. Une fois dans le couloir, ils purent marcher côte à côte. Ses yeux ne purent s’empêcher de plonger régulièrement dans le décolleté qui cheminait à sa gauche. Ils parvinrent enfin aulounge réservé aux personnalités, où ils s’installèrent confortablement l’un en face de l’autre. — Je vous écoute, Miss McCormick.— Tout d’abord, appelez-moi Lizzie. Nous allons passer quelque temps ensemble, nos relations seront moins formelles de la sorte.— Soit. Vous pouvez m’appeler Thomas.— Merci. Eh ...
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