La colocataire Rebecca
Datte: 01/05/2021,
Catégories:
h,
fh,
jeunes,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
init,
Elle ne me voit pas. Je regarde par le trou de la serrure. Elle se déshabille. Ses seins sont petits, ils ont la forme de demi-citrons bien pleins, taches de rousseur, aréoles claires et tétons ronds rose très pâle – un peu épais, là encore comme le cul d’un agrume juste coupé. Elle a la peau si blanche ! Sa culotte tombe à ses pieds. Une touffe rousse. Elle s’allonge sur le lit, jambes écartées. Le bas de sa chatte est presque naturellement glabre. Ses seins ne s’étalent pas, ils restent drus, fermes, ils trônent, comme deux petits citrons pâles sur son buste menu. Elle remonte le drap sur elle, comme à chaque fois. Je vois sa main s’agiter, sa poitrine se soulever, elle se masturbe lentement, des gémissements étouffés me parviennent à travers la porte. Je bande comme un fou. J’essaye de redresser mon slip d’une main en restant collé au trou de serrure mais mon coude cogne contre la porte, le bruit est clair, limpide, il annonce : « quelqu’un cogne à la porte ! » — Oui ? C’est elle ! Je me redresse doucement et prie pour qu’elle ne vienne pas ouvrir. Tout est calme. Pas un bruit. Sauf les battements de mon cœur. Je compte jusqu’à dix. Lentement. Rien. Je me penche, et me replace devant la serrure. C’est tout noir, je ne vois… La porte s’ouvre à la volée ! Je me redresse d’un coup, l’air coupable. Rebecca, ma coloc, est furax. Elle est enveloppée du drap, je sais qu’elle est nue dessous. — Sean ! Qu’est-ce que tu fais là ! Tu m’espionnes ? Si seulement je pouvais arrêter ...
... de bander ! J’ai le cerveau déconnecté. Je ne peux pas trouver de mensonge. Et comme un con, je dis la vérité. — Non, Becky, je… je… je regardais juste euh… j’aime bien quand tu…— QUOI ! Tu veux dire que tu m’as déjà vue en train de… Tu es un gros dégoûtant ! Que je ne te voie plus jamais – ja-mais – devant ma porte comme ça ! Elle recule, le visage blanc de rage, la porte claque, faisant vibrer les murs. Je reviens à ma chambre en traversant la salle commune. Ma bite me fait mal, j’ai le ventre douloureux, comme si l’on m’avait donné un coup de genou dans les roubignolles. Je fais glisser la fermeture éclair de mon pantalon, et sors mon sexe affamé, que je caresse amoureusement. Je ferme les yeux, et me branle debout, au milieu de ma chambre en repensant aux petits nichons dressés de Becky. Ma porte s’ouvre en grand. Rebecca est là, enveloppée dans une serviette rose, qu’elle tient d’une main, juste entre ses seins. Elle pose les yeux sur ma bite, que je remets hâtivement dans mon slip. — Becky ? Qu’est-ce tu… Elle garde les yeux rivés sur mon entrejambe. Elle semble satisfaite, et sérieuse. Mais elle ne sourit pas. — C’est d’accord. Tu peux me regarder. Tu viens ? J’ouvre des grands yeux étonnés et la suis machinalement. — Par le trou de la serrure ? Elle ouvre sa porte et me fais signe d’entrer. — Ne sois pas ridicule. Tiens, prends la chaise et mets-toi là. Je hoche la tête, cœur battant. Je m’installe à côté du lit une place. Elle se place juste devant moi, la serviette ...