La colocataire Rebecca
Datte: 01/05/2021,
Catégories:
h,
fh,
jeunes,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
init,
... porte la même culotte qu’hier. Ma queue prend les commandes, je ne pense plus à rien. Elle se met de dos, soulève ses cheveux roux et demande, ingénue. — Tu peux me dégrafer mon soutien-gorge ? Je déglutis en approchant mes mains. Je me bats un instant avec le système de fermeture, et parviens à le lui détacher. Elle le fait glisser le long de ses bras, et se tourne à nouveau vers moi. Ses petits seins-citrons sont à croquer. — J’ai porté cette culotte toute la journée. Ton produit est tout sec, ça gratte. Mais c’est excitant. Il y a deux auréoles jaunâtres distinctes sur le tissu rose. Je déboutonne mon pantalon, mais elle m’arrête. — Attends. Je peux ? Elle s’assied sur le lit, ses petites mains font glisser ma braguette, elle baisse mon jean et mon slip. Ma queue bondit devant elle, dressée, impatiente. Rebecca sourit. Elle prend ma bite entre ses doigts, la caresse, la découvre. — Ça te fait du bien ? Je hoche la tête. — Je garde ma culotte, mais tu peux venir dessus, comme hier, si tu veux.— Tu m’avais dit que je pourrais te regarder.— Juste les seins. Ça m’excite, la culotte sale.— Oh. Elle s’allonge sur le lit, son cul tout au bord, jambes écartées. Elle glisse sa main dans sa culotte et se presse un sein avec son autre main. Elle se cabre, se cambre, se tend, en fixant ma bite les yeux mi-clos. — Mmmh… Caresse-toi aussi… Ouh mmmmh… Je m’agenouille entre ses jambes, à quelques centimètres de la culotte rose dont le tissu s’étire chaque fois qu’elle enfonce ses doigts ...
... dans sa chatte, et je me branle doucement, en la contemplant, en l’admirant, elle est belle. Son corps menu m’attire, je me vois le serrer, l’étreindre, le pénétrer. Ses deux mains se rejoignent dans la culotte, elle m’enserre avec ses jambes, ondule le cul, s’arrache le clito avec les doigts, elle transpire, ses petits nichons roux luisent dans la lumière du soir. Ma queue frotte contre sa culotte, elle sort ses mains, la saisit dans sa paume, et la frotte contre son vagin, dont je perçois les contours mouillés à travers le tissu fin. — Viens, viens maintenant, oooh, viens… Le chuchotement cesse, elle halète et, dans un spasme, se cambre, s’arrête, presse ma pine plus fort, serre les jambes. C’en est trop, j’explose contre la culotte, le jet part en arc de cercle, puissant, vrille sa poitrine, jusque sur ses lèvres, la seconde giclée dérape de la culotte jusqu’au nombril puis des flots plus modestes et contrôlés coulent sur le tissu rose, au creux de sa chatte, elle me branle lentement, je la laisse récolter le précieux jus qui dégouline sur son pouce en gouttes grasses. Je me penche au-dessus d’elle et lui embrasse les mamelons, les yeux rivés sur la striure de jute qui les zèbre, en me demandant si elle va se laisser faire. Elle ne réagit pas, tout à son extase. La texture de ses nichons est douce, enflée, élastique, je me régale de ses seins minuscules. Elle bouge enfin, rit, se redresse, regarde le sperme transparent qui la couvre, rit encore. — C’est vraiment dégueu. ...