1. La colocataire Rebecca


    Datte: 01/05/2021, Catégories: h, fh, jeunes, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral init,

    ... chemisier. Un soutif rouge en soie couvre ses petits nichons roux. Elle fait glisser sa culotte le long de ses jambes. Sa petite chatte rasée m’appelle. Je m’approche, malgré moi, guidé par ma queue. Rebecca s’assied sur le lit. Elle déboutonne mon jean, le baisse jusqu’à mes pieds en me couvrant le ventre de baisers, puis elle tire mon slip vers le bas. Les baisers se déplacent vers ma pine toute nue qu’elle finit par gober langoureusement. Elle me suce sans hâte pendant une minute, avant de me sourire. — Viens. Elle s’allonge sur le lit, en m’attirant à elle. — Rebecca… Elle écarte les jambes, je suis allongé sur elle, mon sexe est déjà tout contre la petite fente épilée, elle s’en saisit et le fait tourner sur sa vulve humide. C’est chaud. Et extraordinairement doux. Elle m’embrasse tendrement, ouvre les yeux, me fixe intensément. — Personne ne le saura, Sean. Personne.— Becky…— Et ça ne change rien.— Reb… Elle accentue la pression sur ma bite. J’ai la respiration coupée. C’est trop bon. Elle trempe mon gland dans sa mouille abondante. — Viens. Viens en moi. Je hoche la tête, vaincu. — Oh, viens, viens… Elle bascule les reins, par petits à-coups, en chuchotant une litanie de « viensviensviensviens ». Elle guide ma queue dans l’antre chaud et étroit. Son vagin me happe, peu à peu, je donne des petits coups de reins, me retire, reviens, chaque fois la chatte fendue m’accueille un peu plus loin jusqu’à ce que… — Oooh ouiiii… Je suis en elle, perdu dans ses tréfonds, dans ...
    ... son humidité, je la sens partout et nulle part autour de moi, j’ai l’impression que ma queue est immense et minuscule, que je me noie dans sa chatte étroite, qu’elle m’inonde, me retient, m’assoiffe de désir et de plaisir et les assouvit. J’ouvre les yeux. Elle pleure en souriant, je l’embrasse, elle me rend le baiser sauvagement, elle ondule le bassin, pousse sur mes fesses pour que je la pénètre plus fort, plus loin, je sens ses petits seins contre ma poitrine, les baleines du soutif rouge me vrillent la peau, je la baise et l’embrasse et la baise et l’embrasse encore. Elle s’ouvre davantage, ses jambes m’enserrent, elle me presse en elle, je sens ma bite merveilleusement aspirée. Becky remue la tête de droite à gauche en gémissant des petits « oui… oui… oui… » chuchotés, je base le rythme de mes coups de reins, de mes coups de pine, sur ses encouragements, elle respire plus fort, s’enivre en remuant la tête plus vite, ses gémissements deviennent des râles incohérents, puis des couinements, j’accélère, elle se tend, ne respire plus, puis expire enfin en un long râle de plaisir défendu, je me love au fond d’elle et sens sa chatte se contracter longuement autour de mon sexe gonflé. Elle ouvre les yeux et m’embrasse avec fougue. — Oh la claque c’est TROP bon ! Nos bouches se collent, sa langue leste tourne sur la mienne, je recommence à remuer en elle, ma bite colle, a du mal à repartir. — Attends. Elle me pousse, je me retire, ma queue est énorme, je bande comme jamais. L’air ...