Natasha & Franck (22)
Datte: 01/05/2021,
Catégories:
Transexuels
... pectoraux, elle se laissait aller au double contact de l’eau et de ma main droite qui pelotait délicatement ses seins. Ses longs cheveux collaient à sa peau qui laissait échapper de lourdes volutes de vapeur. J’écartai les mèches qui serpentaient sur sa poitrine et jouai avec les mamelons. Elle se retourna pour réclamer le contact de mes lèvres. Je n’avais, bien sûr, aucune envie de les lui refuser. Elle s’adossa à la paroi embuée de la cabine de douche, offrant ainsi ses seins magnifiques à mes yeux, puis mes lèvres, et enfin ma langue. Ses mains couraient sur mes épaules et dans mes cheveux, les serrait à pleines poignées lorsqu’elle souhaitait que je la dévore à pleine bouche, puis elle insista pour que je la savonne. Je la faisais mousser de toute part ; mes mains glissaient sur sa peau comme une voiture sur le verglas, avec certes un peu plus de contrôle. Elle se laissa glisser au sol, et une fois à genoux elle joua de sa langue sur ma verge qu’elle prenait pour un cornet de glace. Deux boules et un seul parfum. Dans la moiteur de la douche, sa bouche était une véritable fournaise. Quand elle y prit mon sexe entier, mon sang me fit l’effet du mercure montant dans un thermomètre prêt à exploser après une exposition prolongée aux rayons directs du soleil. Jugeant son travail efficace, Natasha se releva et me tourna le dos, s’appuyant contre la paroi translucide et toujours plus embuée de la douche. Les gouttes de vapeur se faisaient plus grosses et plus lourdes. Elles ...
... résistaient aussi longtemps que possible à la loi de Newton mais toujours elles finissaient par se laisser entraîner dans ce mauvais plan vertical et y laissaient de grandes zébrures sombres. Elle remua son petit cul de gauche à droite, invitation pressante à la pénétration, comme s’il avait été impossible de comprendre le message sans cette précision. A mon tour je m’enduisis le corps de savon pour parfaire le glissement de nos peaux l’une contre l’autre. Je l’attirai par les hanches et envahis son corps par la partie qu’elle affectionnait le plus me voir conquérir. Les avant-bras et le front plaqués à la vitre, elle offrait son cul bien tendu en arrière. Quand elle prenait cette position, je savais ce qu’elle attendait de moi. Une longue chevauchée. Que je la prenne comme on prend la route en été, un coude à la portière, l’air chaud qui vous caresse le visage accompagné des parfums champêtres de l’herbe sèche fraîchement fauchée, des plantes et la terre surchauffées par un soleil de plomb et, dans l’autoradio, un album carré, binaire et efficace. Avec le volume à la limite de la saturation pour couvrir le bruit du moteur qui râle d’avoir à s’ébranler sous une telle chaleur, comme si le déplacement de l’air provoqué par les membranes des haut-parleurs pouvait faire baisser la température ambiante de quelques degrés. Le pied sur la pédale d’accélérateur, du rock sans superflu, la main sur le volant que l’index tapote en rythme, un son qui va à l’essentiel. Un trio, forcément. Du ...