Natasha & Franck (22)
Datte: 01/05/2021,
Catégories:
Transexuels
... ZZ Top pur jus ! Alexandra entra dans la salle de bain. Je ne saurais dire si c’était les gémissements de Natasha ou simplement que cela la démangeait au même endroit, mais quelque chose lui avait mis la puce à l’oreille, et maintenant elle souhaitait vivement qu’on lui mette autre chose autre part. ─ Oh, les amoureux ! Auriez-vous une petite place pour moi ? ─ Il n’y a plus de place… mais exceptionnellement, puisque mon homme adore les belles rousses, on se serrera. ─ Vous êtes trop aimables, répondit Alexandra sur un ton exagérément aristocratique en entrant dans la douche. Elle commença par se prélasser, elle aussi, sous le torrent d’eau chaude puis se savonna, sans omettre de nous reluquer en pleine action. Excitée par la scène qui se déroulait sous ses yeux, elle se mordait la lèvre inférieure. Elle se versa un peu de gel douche dans la main puis masturba doucement sa verge qui prenait rapidement une proportion honorable. Une fois la mousse rincée, elle vint se placer entre les bras de Natasha et l’embrassa voracement. Elle lui mordait les lèvres, suivait de la langue une ligne imaginaire jusqu’à la pointe de son nez, donna un petit coup de dent sur son aile. Ses mains tantôt lui pétrissaient la poitrine, tantôt jouaient avec ses mamelons du bout de ses doigts agiles. De la pointe de la langue, elle parcourait le cou à la manière d’un vampire à la recherche de l’endroit idéalement tendre où planter ses crocs. Natasha, victime consentante, offrait ses jugulaires à la ...
... tendre morsure de cette belle vampire à la chevelure de sang et de feu. Lorsqu’Alexandra sentit Natasha près de l’orgasme, elle se glissa sous elle, prenant le temps de donner quelques cours de langue étrangement efficaces sur la poitrine qui la surplombait puis dériva rapidement jusqu’à se mettre en orbite autour du nombril. Quand Natasha écarta davantage les jambes comme pour me permettre d’ajouter la touche finale à son orgasme, Alexandra se précipita pour gober le sexe qui balançait d’avant en arrière au rythme de mes coups de reins. Elle se délecta du fluide qui se répandait dans sa bouche. Dans l’attente de mon éjaculation, elle restait soudée à la verge de Natasha jusqu’à ce que, dans un râle grave et continu, je me répande en staccato dans son accueillant et confortable boyau de la joie. Alors elle lâcha l’affaire pour se délecter de la preuve de ma jouissance qui s’écoulait lentement par l’orifice que sa langue sabotait. Après une longue nuit de repos, je me réveillai de la meilleure des manières : Natasha, allongée contre moi, effleurait ma verge du bout de ses doigts. Je n’avais pas encore ouvert les yeux que je sentis la chaleur humide de sa bouche se refermer autour de ma queue. Après avoir émis un son proche d’un M majuscule, je lui avouai qu’elle pouvait me réveiller ainsi tous les jours. Je n’obtins évidemment pas de réponse, en tout cas, pas formulée de manière articulée. Elle avait retenu la leçon du corbeau et du renard : elle n’était pas prête de laisser ...