Notre institutrice (1)
Datte: 01/05/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Chapitre 1 Au collège, dans les années 70, notre prof adore nous donner des leçons de moral. C’est ennuyeux au possible mais obligatoire, en plus, on était noté sur nos travaux de moral et sur notre conduite et la note comptait pour la moyenne. Ok, j’étais dans un collège tenu par des religieuses et Mademoiselle le professeur était l’une des seules à ne pas porter le voile. À 18 ans, avec ma petite copine Irène, pour nous faire de l’argent de poche, on profitait des après-midi de congé pour récolter les vieux papiers. Cela nous faisait de l’argent de poche. Parfois, on trouvait des journaux érotiques qu’on s’empressait de cacher sous une vieille grange, près d’une ancienne ferme qui avait brûlé. Dans ce sous-sol, Irène et moi, on se caressait en regardant nos trouvailles érotiques. Quoi qu’érotique ne soit pas toujours exact. On avait aussi des journaux carrément pornos et d’autres purement SM ou fétichiste comme c’est écrit sur les couvertures. En tout, on en avait une bonne centaine caché dans ce sous-sol. Cela nous emportait dans des plaisirs que nos cours de moral réprouvait et qualifiait de dépravé, de vicieux et j’en passe. Avec Irène, si on ne faisait pas l’amour comme les adultes, on pratiquait la masturbation intensive. Nos corps nu, je la caressais, elle me caressait, on s’embrassait et parfois, chacun fessait l’autre. Son plus beau cadeau fut de me donner son joli petit cul à prendre. C’est la première fois que je pénétrais une femme. Cela étant, vu notre ...
... ignorance, cela n’alla pas loin, Irène avait eu mal dès le début et je n’avais pas insisté. Cela aurait pu durer longtemps avant qu’on ne passe à l’acte pour de vrai. Il est vrai qu’à l’époque, on n’avait pas les moyens actuel, comme internet pour apprendre le sexe. Et ce n’est pas nos parents qui allaient nous aider. Cela étant, les choses allaient s’accélérer. Une après-midi, un mercredi, on venait te livrer notre dernier voyage de papier et nous étions sous la grange quand elle est arrivée. Au pas, j’ai tout de suite reconnu une femme. Irène était sur le point de jouir de mes mains. Et pour ne pas être entendu, je l’embrassais afin de limiter le bruit de son orgasme. En haut, les bruits de pas se turent. Lentement, je suis monté. Il y avait une femme de dos et dont la silhouette ne m’était pas inconnue, mais qui était-ce ? Une voiture est arrivée, je me suis glissé derrière un vieux char à bœuf. De là, personne ne pouvait me voir. Irène ma rejoint et me dit que la femme était notre institutrice. En effet, quand elle se mit à genou, les mains sur sa nuque, elle se tourna légèrement et je la reconnu. Un homme grand est entré, un gros sac surl’épaule. Irène et moi, on ne bougeait plus, sa main sur ma bite et la mienne entre ses fesses. Nous étions à moitié à poil. L’homme s’est approché de notre prof, lui a saisi sa queue de cheval et la secouée fortement avant de l’obliger à lécher ses chaussures vernies. Cela dura un moment avant que mademoiselle ne reçoive l’ordre autoritaire de se ...