1. Notre institutrice (1)


    Datte: 01/05/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... mettre nue. C’est là qu’on vit que notre prof ne portait pas de petite culotte. L’homme lui expliqua les manquements au règlement, mademoiselle répondait par l’affirmative à chacune des fautes dénoncées par cet homme. Aucun doute n’était permit, c’était bel et bien une soumise et masochiste en plus. marmppyq Irène me dit que l’homme était un dominant et que notre prof était son esclave. C’est vrai que nos revues nous en racontaient beaucoup de ce genre d’histoire. En fait, à Irène et moi, on avait la théorie mais trop peu de pratique, tout juste du touche pipi. L’homme sortit des accessoires de son sac, dont des cordes. En quelque minute, mademoiselle était écartelée entre ciel et terre et entièrement nue. Ce qu’elle était belle, je bandais dur comme de l’acier. Mon Irène n’y arrivait plus à la main, c’est avec sa bouche qu’elle allait me faire jouir. L’homme prit alors un lot de pince et en garnit tout le corps dont la bouche poussait de long soupir à chaque pince posée. Parfois, un petit cri nous parvenait. Je me ...
    ... cramponnais à Irène pour ne pas tomber sur le sol. Je profitais d’un moment de répit de ce couple pour entièrement me dévêtir et faire de même sur Irène. L’homme tournait autour de mademoiselle, lui assènent de méchant coup de sa cravache. Parfois une pince tombait, frappée par la cravache. Mademoiselle hurlait alors et ce n’était pas de plaisir, vous pouvez me croire. Du coup, je me mis à imaginer, Irène attachée et moi en méchant et pervers bourreau. Quoi qu’après réflexion, je retirais Irène des cordes et laissait notre professeur et ses cours de moral écartelée comme elle l’était. L’homme se mit alors à fustiger ce corps sans défense. Irène était proche de recevoir mon sperme dans sa bouche. Je m’activais sur sa chatoune de ma main. Irène retira sa bouche de mon pénis pour m’achever d’une bonne branlette. Nue, elle en reçu sur tout son visage, toute sa poitrine et même jusque sur son minou. Ma main portait la marque de mes dents et un peu de sang aussi. Irène jouit presque en même temps. Me mordant ma cuisse. À suivre. 
«12»