1. Le bus du bonheur ou Les prémices d'une fixation orale


    Datte: 02/05/2021, Catégories: fh, jeunes, voyage, bus, volupté, Oral init,

    Tout a commencé dans la joyeuse excitation d’un voyage universitaire. Ce séjour au pays basque s’inscrivait dans le cadre d’un jumelage entre la chorale de la fac avec un autre établissement de San Sebastian. À la clé, toute une tournée de concerts, des visites et festivités. J’étais alors en DEUG 2ème année, musicologie, beau garçon, grand, cheveux châtains, plutôt timide et rêveur. Je passais pour un fort en thème, un crack en musique, mais pas du genre entreprenant avec les filles. Je connaissais alors très peu Ines qui n’était qu’en première année, suite à un redoublement, mais nous avions eu déjà l’occasion de nous croiser. Il y a de ça quelques années nos frères et sœurs aînées se fréquentaient. Ines m’impressionnait par sa forte personnalité, son humour ponctué d’éclats de rires retentissants. Elle dégageait beaucoup de sensualité avec son immense chevelure blonde, sa bouche rose et pulpeuse. Ines m’appréciait bien avec mes réflexions parfois caustiques et mon côté un peu décalé. Son caractère très rayonnant et jovial contrastait avec la fadeur de beaucoup de ses camarades. Nous nous redécouvrions l’un l’autre et très vite, Ines prit place à mes côtés dans le bus dans un esprit de franche camaraderie. Passés l’atmosphère électrique et les piaillements des premières heures, une fatigue quasi-générale s’empara progressivement de l’équipée étudiante, réduisant le niveau sonore à quelques éclats de voix épars. Il était une heure du matin et nos conversations avaient ...
    ... laissé place à un engourdissement diffus renforcé par le ronron du moteur de l’autobus. Nous étions tous deux en train de contempler le paysage bucolique du pays basque. Autour de nous, cela pionçait dur à l’image de mon voisin arrière Ludovic qui dormait la bouche ouverte. La fatigue gagnait nos deux corps et Ines se reposait de plus en plus sur mon épaule. Je sentais la chaleur douce de ses magnifiques cheveux. J’entendis un petit bruit de bouche, suivi d’un soupir : Ines venait de prendre son pouce. — Cela te dérange si je suce mon pouce ?— … heuu, pas du tout, non…— Je fais toujours ça quand je suis fatiguée et cela m’aide à m’endormir… Mmm… J’étais de plus en plus troublé et ce n’est pas de voir son pouce dans cette adorable bouche qui allait calmer le jeu. Ines s’appuyait et glissait de plus en plus contre moi. Aussi pour l’aider à dormir, je lui proposai de s’installer sur mes jambes. Sa tête reposait à présent innocemment contre mes cuisses. Malgré la fatigue mon excitation était grande et je sentais mon membre se comprimer sous mon pantalon. Comment demeurer ainsi et sentir sa joue et cette bouche voluptueuse si près de mon membre ? Et toujours ce fichu petit bruit de succion… ! Feignant de protéger mon amie de la fraîcheur matinale, je couvris sa tête de mon gilet nous mettant à l’abri de regards inopportuns. Cela faisait un quart d’heure que cela durait et pris soudain d’une audace égale à l’ampleur de mon érection, glissant lentement ma main sous le gilet, j’entrepris ...
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