1. Le bus du bonheur ou Les prémices d'une fixation orale


    Datte: 02/05/2021, Catégories: fh, jeunes, voyage, bus, volupté, Oral init,

    ... d’ouvrir très délicatement ma braguette. Ines ne semblait pas encore endormie. Mon gland ne tarda à pointer son nez suivi du reste de ma queue vibrante. J’atteignis alors la phase critique, celle de la rencontre improbable entre ce visage et mon organe implorant. Ines eut un petit sursaut, traduit par un léger, mais brusque mouvement de tête, mais aucun rejet rédhibitoire. Le dialogue allait pouvoir s’instaurer. J’étais au moment des faits redoutablement puceau cantonné à la sphère phantasmatique et masturbatoire et j’ignorais tout de l’expérience d’Ines en la matière. Un miracle allait-il s’accomplir ? Je sentis d’abord le frôlement de ses joues, puis le contact de ses lèvres contre mes veines, puis un baiser humide et prolongé vint récompenser mon gland quasi luminescent. Ines avait donc accepté d’adopter ce drôle de spécimen délaissant un peu son pouce encore humide. Mon plaisir allait être à la hauteur de mon inexpérience. Après plusieurs baisers qui semblaient un premier geste d’exploration et de prise de contact Ines, avec une infinie tendresse, prit mon dard en bouche. Je tremblais de tout mon être au contact velouté de sa langue et des muqueuses de sa bouche accueillante. Jamais ses mains ne lui vinrent en aide, Ines tétait mon gland avec un naturel confondant. J’étais privé de toute dimension visuelle mais peu m’importait tant cette caresse voluptueuse était inespérée. Je ne sais combien de temps a duré cette première succion lente et paisible, peut-être un quart ...
    ... d’heure. Soudain, une onde de plaisir aussi fulgurante qu’imprévisible traversa mon être. Impossible dans ces conditions d’aviser ma douce amie qui n’eut d’autre option que de recevoir ma semence dans sa bouche. Loin d’être rebutée, Ines accueillit la chose avec clémence, avalant en deux gorgées l’étrange liquide avec un « Mmm… » interrogateur. Je restais comme foudroyé alors qu’Ines prolongeait encore un peu sa caresse sur ma chair extatique. Après ce moment d’intense plaisir, le sommeil m’envahit nimbé de songes luxurieux alors que ma queue assagie reposait encore tout près des joues roses de mon amoureuse. Vers cinq heures trente du matin, je m’éveillai presque en sursaut. J’aperçus la côte océanique par la vitre embuée alors qu’un grand calme régnait toujours dans le bus. Le visage endormi d’Ines reposait toujours sur mes cuisses et mon cœur se mit à palpiter à mesure que je me remémorais la scène et les sensations éprouvées quelques heures auparavant. En quelques secondes, une érection intransigeante s’emparait de moi. Etait-il envisageable que le scénario miraculeux se répétât ? Soucieux d’offrir cette fois quelques caresses et un réveil en douceur à ma camarade, je glissai délicatement ma main sous son tee-shirt et entrepris de dégrafer son soutien-gorge. Après quelques douces caresses dans le dos, j’atteignis ses jolis petits seins en poires que je massai tendrement. Un léger soupir m’indiqua que je pouvais aller plus loin. Du pouce et de l’index de ma main droite, je ...