1. Le jeu de l'oie


    Datte: 03/05/2021, Catégories: grp, extracon, cocus, copains, campagne, jardin, fête, anniversai, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, BDSM / Fétichisme nopéné, jeu, humour,

    ... Foutaise ! — … Et tu as de la chance, Sophie, que Liliane n’ait pas voulu jouer aux cartes, comme je le lui avais proposé. Je dispose en effet d’un jeu dont la reine de cœur est… un peu spéciale. Il n’ose plus le "ma chérie", il a vu mon froncement de sourcils. Mais je suis bien obligée de penser à l’arrière-salle de l’Hyper Bar, quand j’y posais pour des photos "un peu spéciales" en effet. J’étais la reine de cœur et c’est avec Éric, le roi au si rigide sceptre de chair, que j’ai passé la nuit qui suivit, et quelques autres. Et quelques autres hommes aussi, car ce roi d’une extrême bienveillance prêtait volontiers la reine à ses mauvais sujets, prétendant benoîtement qu’il ne souhaitait qu’une chose, la voir satisfaite. La reine se prêtait à ces jeux, elle était jeune. Et Thierry, excité comme un pou, cocu finalement content, méprisable me traitant de chienne mais sollicitant des détails, chassé de ma chambre de la rue Sainte-Opportune n’y a plus jamais remis les pieds, ni le reste. Ces doigts qui m’ont caressée, qui se sont glissés en moi, qui chaque nuit cherchaient à tâtons mon corps sous les draps ou qui voulaient au moins agripper un pan de ma nuisette ou de mon pyjama déboutonnent en tremblant un peu mon léger vêtement. Non, Thierry, tu ne risques pas d’avoir déjà vu ce soutien-gorge de dentelle, et les seins qu’il enchâsse sont désormais caressés par d’autres mains que les tiennes, leurs tétons aspirés par d’autres lèvres. Te ferai-je l’aumône de te les abandonner ...
    ... un instant, tout à l’heure ? Pas sûr ; d’autres que toi sont sur les rangs, qui avalent leur salive en silence. Karine, sans même se lever, enlève une de ses chaussures. — Les chaussures, ça compte, Sophie ? me demande Christophe.— Aucune idée. Pose ta question à Liliane. Liliane répond que les deux chaussures comptent pour un vêtement, et encore on y ajoute les chaussettes parce qu’un mec en chaussettes, c’est d’un ridicule… — Et les bas, Liliane ?— … Ah, les bas… Il n’y a que toi qui en as, Laure. Celui qui prendra tes chaussures décidera s’il veut les bas avec. Ce sera vite tranché, à mon avis ! Et la chaînette d’or de ma cheville droite, comptera-t-elle pour un vêtement ? Quoi qu’il en soit, je refuserai absolument de l’enlever. Olivier, tu ne pourras qu’apprécier cette marque de fidélité. Au tour suivant, c’est moi la dernière. Frédéric ! Ah, me jeter contre son torse que je viens de dénuder ! Du bout des doigts, je frôle ses minuscules tétons. Son regard se trouble. Karine nous tourne le dos pour déboutonner son corsage, le laisse tomber sur le sol et se retourne enfin, les mains d’abord en coquilles sur les seins puis en offrande faussement innocente. Elle n’avait pas de soutien-gorge. Ses seins ne sont pas plus gros que les miens, ce sont deux petites pommes. Frédéric, ne les regarde pas ainsi ! Laure enlève le tee-shirt de Thierry, qui rentre le ventre. C’est pourtant vrai qu’il commence à grossir ! La combinaison 4 et 5 me projette à la case 53, je vais avoir à me ...
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