1. Robin


    Datte: 04/11/2017, Catégories: fh, fplusag, jeunes, extracon, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, init,

    ... mon intrusion. Je continue donc à forcer, et bientôt tout mon doigt se trouve fiché dans le cul féminin, sans que cela ne me pose de problème. Il est vrai que la grosseur de mon majeur est loin d’atteindre le volume de mon sexe bandé. — Oui, frotte bien, m’encourage Isabelle en cambrant ses reins au maximum. Puisqu’elle me le demande avec une réelle insistance, j’active mon doigt dans l’orifice anal, éprouvant un certain plaisir à explorer ce cul féminin étonnamment resserré par rapport à la vaste vulve que j’avais fouillé de ma bite quelques instants plus tôt. Comblé, je fais coulisser mon majeur dans le mignon petit trou, sodomisant ma partenaire de mon doigt rigide. — Oh oui, c’est bon, gémit Isabelle au bout d’un instant. Continue mon chéri ! Branle-moi bien le cul ! Ohhh oouuii ! Ouiii ! Étonné qu’elle puisse ressentir un tel plaisir par ce trou, j’accélère mon pistonnage. Mais alors un désir pervers me vint à l’esprit. Accolant mon index à mon majeur, j’enfonce mes deux doigts dans le cul féminin copieusement lubrifié par la crème que j’y ai versée et les active fébrilement. — Oh oui, c’est encore meilleur, grogne aussitôt Isabelle en lançant furieusement son derrière au-devant de mes doigts. Viens, maintenant, m’exhorte-t-elle ! Je veux sentir ta queue dans mon cul ! Mets-la-moi ! D’un coup de reins, elle se positionne à quatre pattes devant moi, et en passant une de ses mains entre ses cuisses, elle se saisit de ma bite qu’elle dirige entre ses fesses. Le bout arrondi ...
    ... de mon gland s’appuie sur son œillet rose, qui me semble extrêmement petit. — Là, tu y es, me prévient-elle d’une voix sourde… Va doucement, tu es si gros ! Avec émotion, je sens comme des pulsations émanant du minuscule orifice anal. Agrippant fermement les hanches de mon initiatrice, je pousse pour enfoncer mon dard dans ce cul offert. Mais contrairement à l’introduction vaginale, qui s’est déroulée dans un glissement, l’orifice anal résiste à ma poussée, faisant plier ma verge pourtant rigide. Isabelle pousse un petit gémissement, je la vois agripper des deux mains le polochon. — Oh comme tu es gros, gémit-elle… Vas-y pousse ! Doutant du résultat, j’exerce une nouvelle pression, en tirant à moi Isabelle que je tiens fermement par les hanches. Elle pousse un nouveau gémissement, suivi aussitôt par un petit cri. Sans que je me rende compte de ce qui m’arrive, je me retrouve fiché jusqu’aux couilles dans le cul féminin qui vient de s’écarteler brusquement. — Oui, oui, ça y est, grogne Isabelle. Ne bouge plus ! Oooh, c’est terrible, tu m’as défoncé le cul ! Ne bouge pas, je t’en prie ! Pas tout de suite… Son anus est tellement serré que j’ai l’impression que mon gland est divisé en deux par un élastique trop petit. Je sens le bout de ma bite gonflé à l’intérieur des intestins de ma folle partenaire qui gémit et pousse des petits cris de douleurs. Je demeure immobile, ivre de joie. J’encule une femme. Quand je raconterai ça aux copains… — Vas-y, me demande enfin Isabelle. Mais ...