1. Robin


    Datte: 04/11/2017, Catégories: fh, fplusag, jeunes, extracon, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, init,

    ... sur son petit cul qui déambule devant moi. C’est rafraîchissant, même si je sais que je n’y toucherai pas. Et parfois, quand elle me parle, je m’approche et elle en fait de même, ce qui me permet de plonger mon regard dans son décolleté qui m’est ainsi offert. Ça me donne l’occasion de rêver que j’y balade mes mains. Mais là aussi, c’est juste en rêve. Je collectionne les images fugaces pour m’en servir une fois rentré, tout seul dans mon lit, avec comme seule compagnie ma main droite. oooOOOooo Il me reste désormais moins de deux mois d’école avant de rentrer chez mes parents pour les grandes vacances. Jean étant en déplacement de longue durée, Isabelle me propose de déjeuner avec elle le midi, les jours où je le souhaite. J’imagine alors que probablement, en tant que bonne maman qui a maintenant bien cerné la timidité et les difficultés d’insertion de son jeune locataire, elle souhaite lui procurer un minimum de réconfort maternel. Bien évidemment, j’accepte sa proposition. Après deux semaines de repas pris quotidiennement le midi en tête à tête avec Isabelle, j’ai gagné en confiance et en assurance : il faut dire qu’elle sait me mettre à l’aise. Ces moments passés ensemble m’ont permis d’en savoir beaucoup plus sur elle, sur Jean, souvent en déplacements et sur son fils de 25 ans parti à l’étranger pour son emploi. Elle parle beaucoup, je l’écoute et ça me réconforte. Peu à peu, au-delà de la relation maternelle que j’entretiens avec elle, je ne peux m’empêcher d’avoir ...
    ... du désir charnel pour elle, un désir qui hante chaque jour un peu plus mes soirées. Désormais, tous les soirs lorsque je suis dans mon lit, je me masturbe frénétiquement en pensant à elle. Je suis sûr d’avoir franchi un cap, je suis confiant, je me sens prêt à oser l’impensable. En attendant, à chaque occasion, je frôle son corps. Tous les prétextes sont bons pour que je la touche, ma main près de la sienne, mon bras contre le sien, pas franchement des avances, plutôt des attouchements volés. Mais elle n’est pas dupe. Hésitante elle aussi, elle ne veut ni me réprimander ni me décourager, mais pas non plus tomber dans mes bras. Elle semble ainsi dire « oui », mais il faut rester raisonnable, mais « oui » quand même, « oui » pourquoi pas ? Si je la frôle, elle se laisse faire, mais je sais qu’il ne faut pas aller plus loin pour l’instant. Et comme je désire garder toutes mes chances, je ne brusque pas les choses. Une tendre complicité naît peu à peu entre nous. Il lui arrive de poser sa main sur mon bras et je ressens un peu plus qu’un geste d’affection, déjà pratiquement une complicité. Également, quand nous nous faisons la bise, une bise de plus en plus appuyée et que nos bouches frôlent nos lèvres, ce n’est là plus tout à fait un simple bonjour, il y a un peu plus dans tout ça et nous sommes tous les deux complices de ces instants volés. Je suis chaque jour un peu plus amoureux d’elle. Oui, c’est cela, nous sommes en train de tomber réellement amoureux, elle, tout comme moi. ...
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