Robin
Datte: 04/11/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
extracon,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
init,
... mains se saisir de ma tête pour l’immobiliser. Agitant son bas-ventre d’avant en arrière, elle entreprend de frotter avec fougue, son clitoris contre ma bouche et mon menton. Je ne tarde pas à m’apercevoir que son sexe est de plus en plus dégoulinant de sécrétions, j’ai un goût de liquide gluant et assez salé dans la bouche, ce qui me surprend beaucoup, sans vraiment me déplaire. Cependant, au bout d’un instant, Isabelle cesse tout mouvement, s’immobilisant brusquement, tandis qu’une douce plainte jaillit de sa gorge, brisant le silence de la cuisine. Puis au bout de quelques secondes, elle me libère. — C’était rudement bon, tu sais, me dit-elle dans un sourire. La bouche et le menton littéralement trempés par tout le liquide qui s’est échappé de la vulve de ma sensuelle hôtesse, le sexe effroyablement bandé, je me réinstalle sur ma chaise, curieux de connaître la suite des événements. — Non ne t’assois pas, reste debout, c’est à mon tour de te goûter. Déshabille-toi, grogna-t-elle soudain. Avec des gestes désordonnés, elle veut m’aider à enlever mes vêtements. En moins de trente secondes, je me retrouve aussi nu que mon initiatrice. Au bas de mon ventre, ma bite se dresse orgueilleusement, tandis qu’une douleur me tord les entrailles. Elle s’assoit sur la chaise devant moi, son visage à hauteur de mon sexe. — Tu sais, en amour, rien n’est sale ! Ton sperme ou mon jus, mon foutre, comme certains l’appellent, sont des liquides savoureux ! Regarde, je vais sucer ta queue et ...
... crois-moi, je vais me régaler avec ta semence. Je me trouve plutôt surpris de ce que je viens d’entendre. Au bas de mon ventre, Isabelle joint le geste à la parole et se met à lécher ma tige de haut en bas et de bas en haut avant de me prendre le plus profondément possible avec ardeur au fond de sa gorge. Si bien qu’en un rien de temps, je sens mon sperme monter avant de jaillir sur ses amygdales. Isabelle se redresse, me saisit la main et m’entraîne jusqu’à sa chambre. Là, debout l’un en face l’un de l’autre, nous nous embrassons de nouveau passionnément. Ayant perdu toute timidité, j’en profite pour laisser courir mes doigts sur son corps si sensuel. Isabelle accrochée à mon cou, commence à s’agiter contre mon corps, frottant lascivement son bas-ventre nu contre ma verge toujours tendue. Sans un mot, Isabelle grimpe sur le lit conjugal où elle s’allonge sur le dos. Là me fixant avec intensité, elle écarte largement ses cuisses, me dévoilant son sexe abondamment poilu. — Viens, demande-t-elle ! Viens entre mes jambes mon chéri… Je veux que tu me prennes ! Tout en me parlant, elle écarte les longs poils qui me cachent l’entrée de son sanctuaire, et de ses deux mains, elle ouvre sa longue fente. Du fait de ma position agenouillée entre ses cuisses, je peux contempler sa vulve. Je remarque à la brillance des parois internes qu’elle est excessivement humide. À la commissure supérieure des épaisses lèvres sexuelles, je remarque une énorme excroissance rose, que je devine être ce ...