Maman veut le voir
Datte: 03/05/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
fsoumise,
hdomine,
dispute,
Voyeur / Exhib / Nudisme
massage,
pénétratio,
occasion,
... dur : — Tu cracherais encore ? Mais ce coup-ci, donne-toi à fond tout de suite. Et je veux sentir ta crème.— Ah, tu la veux façon marteau-pilon ? Alors j’ai la position qui te conviendra. Mets-toi sur le ventre.— Oh non Laurent ! Pas sur le ventre, pas par là ! J’aime pas.— Ne pleure pas avant d’être battue. Tu ne risques rien, la sodo, c’est pas mon truc. Fais-moi confiance, et tourne-toi, dit-il en la basculant. Il lui écarta les cuisses et sa main passa de la face interne de l’une à celle de l’autre en s’attardant sur les lèvres luisantes, la faisant frissonner. Il positionna son membre et s’abattit sur elle pour l’écraser, en l’investissant jusqu’au fond des chairs soyeuses. Il coulissa plusieurs fois pour laisser à sa partenaire le temps de s’habituer à cette position de contrainte. Sans prévenir, d’un coup de rein brutal, il déchaîna le haras dans le tendre fourreau de la pouliche. Elle poussa un cri. Puis un second, puis un troisième, puis d’autres au rythme du pilon de chair qui la martelait. Ses doigts griffaient le drap. Elle se livrait totalement à ces coups d’une sauvagerie impitoyable dans laquelle elle se noya, perdant toute autre perception que celle du plaisir. À un moment, les cris se transformèrent en une plainte continue, parfois sourde, parfois stridente. Il ralentit, revenant à un va-et-vient ample et doux. — Tu préfères fort, n’est-ce pas, maman vicieuse ?— Oui… mais me fais pas ce genre de truc… t’arrête pas, salaud… recommence, continue à me ...
... défoncer… je t’en supplie, reprends fort…— Et tu voudras la béchamel ?— Oh oui… la giclée… il me la faut…— Dès que tu la veux, demande. Il passa une main sous son ventre pour la maintenir plus serrée encore et de l’autre, lui agrippa la peau de la nuque entre ses doigts. La chevauchée infernale reprit, lui écrasant les fesses à chaque coup de boutoir. Le marteau-pilon déploya une brutalité insupportable, sans aucun égard pour la victime crucifiée sur le ventre. Elle céda brusquement : — Le jus ! Gicle-moi ! Le jus… Ouiiiiii… Il ressentit une véritable félicité à se libérer en flots tièdes tandis que Marie poussait ses fesses vers la lance divine. Elle avait l’impression que toute sa vie se concentrait dans le flot qui noyait ses entrailles. Ils restèrent un moment soudés, puis il la fit basculer sur le côté, la saisit par les cheveux derrière la tête et lui mangea la bouche langoureusement. Ils se douchèrent ensemble. Laurent, par jeu, savonna longuement la nuque, les seins et l’entrejambe de la pécheresse qui plia plusieurs fois les genoux sous la résurgence des sensations. Visiblement elle aurait aimé remettre le couvert derechef, mais Laurent était vidé. — Non, Marie, plus maintenant. Il remit le café à chauffer qu’ils savourèrent dans une ambiance calme et détendue. Marie sourit : — Et dire que j’étais venue pour t’engueuler et te faire la morale. Alors là, tu m’as bien eue. Pourtant je l’avoue, même si les choses ont pris un tour que je n’attendais pas, je ne regrette pas le ...