Carine passive
Datte: 03/05/2021,
Catégories:
fh,
copains,
Collègues / Travail
complexe,
fsoumise,
cérébral,
BDSM / Fétichisme
nopéné,
conte,
portrait,
... n’écoute pas et est déjà parti chercher une vendeuse. Il revient avec une vendeuse dans la trentaine, les cheveux noir-corbeau qui se met à sourire quand elle me voit. — C’est un modèle 1945 avec blindage anti-char, qui ne convient pas du tout à votre âge. Sur ce, elle sort un mètre me pousse dans la cabine, — Enlevez-moi votre ensemble que je puisse prendre vos mesures. La cabine est plutôt étroite à deux et le rideau est resté un peu écarté. Sans me demander mon avis, elle dégrafe mon soutien-gorge acheté avec ma mère il y a bien longtemps et le jette sur le pouf puis commence à prendre différentes mesures, ne se gênant pas pour manipuler mes seins en tous sens. — Prendre les mesures au-dessus d’un tel engin ne pouvait qu’entraîner une erreur de taille. Ses mains étant toujours sur moi, par l’ouverture des rideaux, j’aperçois Steven, la mâchoire décrochée. Je suis rouge comme une pivoine. — 95c… La vendeuse sort alors faisant voler les rideaux, ceux-ci restant à moitié ouverts. Je suis toujours les seins à l’air et Steven va avoir une attaque, il bave littéralement. Je referme précipitamment les rideaux. Un frisson me trouble, Steven est seulement le deuxième homme à voir mes seins. Cela, plus les mains de la vendeuse, j’ai les seins qui chauffent, les bouts s’allongent. Avec ma mère, les vendeuses mesuraient mon tour de poitrine par dessus de mes vêtements, et l’essayage se faisait à la maison. La vendeuse revient, ouvre le rideau et me tend ...
... un soutien-gorge bleu pale en dentelle, je n’ai jamais rien vu de pareil sauf dans la pub. J’enfile le soutien qui me fait l’effet d’une véritable caresse sur les seins. Ils n’ont pas besoin de cela, mais ça les remonte et les rapproche. La vendeuse repasse la tête par les rideaux. — Cela vous va super bien, pour le bas, string ou culotte ?— C’est que…— Vous n’allez quand même pas mettre un soutien aussi joli sans assortir le bas. Demandez à votre petit ami… Et de me tirer par la main pour me mettre devant la glace. Je pense que je ne peux être plus rouge, et Steven aussi. Sur ce, elle nous quitte pour rejoindre le rayon sous-vêtement. C’est vrai qu’il me va bien, mais je ne vois plus rien d’autre que mes mamelons visible à travers la dentelle. Je file dans la cabine. La vendeuse revient déjà avec un slip boxer en dentelle en me tendant une protection avec. Je quitte mon slip en coton en imaginant de l’autre côté la vue sous le rideau. Mon slip est trempé, et le boxer ne cache rien de mon buisson non élagué. Je n’oserai jamais sortir comme cela sous une jupe, mais c’est sans jupe et juste avec le boxer et le soutien que la vendeuse me tire à nouveau dehors. Elle me fait virevolter devant Steven avant de me placer face au miroir tout en laissant glisser sa main sur ma colonne vertébrale provoquant chez moi de délicieux frissons. Il ne m’en faut pas plus pour sentir mes jambes flageoler et pour jouir debout sans autre attouchement devant le miroir.