1. Le petit prof


    Datte: 04/05/2021, Catégories: hh, forêt, caférestau, douche, amour, humilié(e), Transexuels Oral préservati, hdanus, hsodo, amourdram, regrets,

    ... déambulaient. Il avait prévu d’aller manger un burger au Mc do du carrefour de l’Europe. Il fit traîner son repas jusqu’à ce que le crépuscule se soit bien installé. Aussi lorsqu’il arriva sur le parking, c’est à la lueur des phares qu’il constata que le nombre de voitures avait augmenté. Il se gara le long de la clôture qui séparait l’aire de stationnement de la forêt. Il coupa le moteur, déboucla sa ceinture. Il resta un bon moment immobile, songeur. L’envie de fuir le tenaillait mais l’idée de se retrouver seul avec sa bouteille de whisky dans son appart crasseux le révulsait. Il avait besoin d’une bite mais aussi d’un peu de chaleur humaine. Une silhouette pressée passa devant son pare-brise, traversa le terre-plein et sembla s’engouffrer dans la clôture. Il n’allait pas se dégonfler si près du but. Le besoin urgent de pisser qui le taraudait força sa décision. Il glissa quelques capotes dans la poche de son jean et s’éjecta de la voiture. Il se rapprocha du grillage. Il comprit comment l’homme aperçu avait pu traverser. À cet endroit, existait une ouverture, invisible du parking. Une tranchée avait été creusée entre l’aire de stationnement et le sous-bois, sans doute pour évacuer les eaux pluviales. Une âme charitable avait placé quelques planches pour permettre un accès plus facile à la forêt. Le cœur en chamade, il franchit la frontière et entra dans l’obscurité. Obscurité toute relative car la lune éclairait le bois de ses rayons diffus. Dix mètres et un fossé ...
    ... plus loin, le sentier se ramifiait. Au hasard, Sébastien s’engagea dans le rameau qui s’enfonçait le plus franchement dans les bois. Il fallait qu’il pisse. Un coup d’œil circulaire : personne en vue. Il sortit son sexe. Quelques secondes qu’il urinait, déjà une silhouette émergeait de l’obscurité. Il était venu pour ça mais être surpris en train de… Il aurait voulu remiser son pénis mais impossible d’arrêter. Les trois bières qu’il avait descendues au Mc do pour se donner du courage n’étaient pas étrangères à cette longue miction. L’homme, sans aucune gêne, vint vers lui. Il s’immobilisa à moins d’un mètre, le regard braqué sur la bite flasque de Sébastien. Celui-ci se sentait humilié, il avait l’impression que le flux ne tarissait pas. Enfin la dernière goutte. Il secoua brièvement son pénis et le remisa prestement dans son futal. — Ben on peut pas dire que dame nature t’ait gâté, commenta l’homme, méprisant, avant de s’éloigner. Mais t’as un joli cul. Sébastien était rouge de honte. Il avait toujours été complexé par la modestie de son pénis au repos. Il aurait voulu dire à l’inconnu que sa bite en érection revendiquait une taille tout à fait respectable. Trop tard, il avait disparu, happé par la nuit. Sébastien, la vessie soulagée, reprit sa progression. Un bruit sur sa gauche attira son attention. Il s’approcha. Une petite clairière, éclairée par la lune telle une scène de théâtre. Une femme d’âge mûr, la jupe roulée sur les hanches, se faisait bourrer en levrette par un ...
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