En boîte
Datte: 04/05/2021,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
boitenuit,
Oral
Voyeur / Exhib / Nudisme
— Oh, arrête de faire la gueule ! On est bien, ici !— Non, ça m’emmerde gravos, ce genre de soirée ! J’ai passé l’âge d’aller en boîte…— Allez, arrête de faire ton bougon et viens danser avec moi ! Stéphanie me tira par le bras, m’arrachant à mon fauteuil et à ma vodka, et m’entraîna jusqu’au beau milieu de la piste de danse, jonchée de dizaines de personnes remuant aux sons graves des boum-boum électroniques endiablés. Je soupirai et dansai à mon tour vaguement. Notre merveilleuse Amicale des Personnels avait eu la fantastique idée d’organiser une soirée « restau-disco », qui semblait avoir emballé la majorité desdits personnels. Autant le repas avait été sympa, autant l’after en boîte me gonflait sévère. Et tous les efforts de mes collègues pour me dérider avaient été vains jusqu’à ce qu’ils m’envoient Stéphanie. Ah les salauds ! Ils savaient bien que je ne pouvais pas résister à une belle nana qui battait des cils… Et voilà que je me retrouvais à tectoniker sous les stroboscopes en face de Steph qui m’allumait autant qu’elle pouvait… Mais c’était peine perdue ; j’avais déjà eu une sorte de « relation » avec elle : on était sortis ensemble, peu de temps après qu’elle eut été embauchée dans ma boîte ; on avait baisé cinq six fois, mais c’était tout. On n’avait rien à se dire ; peu de choses en commun ; pas forcément les mêmes idées sur la vie… On s’était dit qu’on restait copains ; on s’était surtout forcés à continuer à se comporter comme des adultes, d’autant qu’on était ...
... collègues. Et puis, de temps en temps, quand elle avait personne, elle revenait me voir, et minaudait jusqu’à ce que je craque pour son beau petit cul. Mais ce soir, niet ! — Alors ? Ça y est ? T’es quand même venu danser ? C’était Seb, qui avait l’air ravi de me savoir à ses côtés. J’acquiesçai vaguement. Il se repencha à mon oreille : — Steph a l’air en forme, ce soir. J’ai l’impression que tu vas pas finir la soirée tout seul… Et voilà. Même mes collègues avaient compris qu’elle me prenait pour son gode… — Rien à foutre ! hurlai-je. Si tu veux te la taper, vas-y ! Il me regarda curieusement. C’était ça, le pire, j’avais plein de collègues qui se montraient jaloux du fait que je la tire une ou deux fois tous les deux mois. Alors qu’on se larguait comme des vieilles chaussettes dès le lendemain. Mais, c’est vrai qu’elle était méchamment belle, Steph ; et au pieu, on s’ennuyait pas. Sans la moindre retenue, j’observai son visage, sa poitrine, et tout son corps tandis qu’elle se déhanchait devant moi. Elle finit par s’approcher de moi en souriant et beugla à mon oreille pour couvrir la « musique » : — J’aime comme tu me regardes, comme tu me manges des yeux…— T’en as pas marre de ces plans culs sans lendemain ?— C’est toi qui me dis ça ? me lança-t-elle en souriant encore. Mais avant que j’aie pu lui répondre, elle était repartie danser à deux mètres de moi et, toute cambrée, agitait ses fesses magnifiques sous mon nez. Ah putain ! J’avais envie d’elle, c’était clair ! Je me ...