1. En boîte


    Datte: 04/05/2021, Catégories: fh, Collègues / Travail boitenuit, Oral Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... si j’arriverais à retourner au boulot après ça. Mais un autre côté de mon ego était redoutablement excité, et ne voulait absolument pas que Steph arrête cette pipe phénoménale. Et le type au micro continuait : — C’est chaud ! C’est chaud ! La demoiselle n’a pas froid aux yeux ! C’était horrible ! Je devinais la foule en cercle à un mètre de nous, les yeux rivés sur nous, et qui se mit bientôt à hurler et applaudir à chaque va-et-vient des lèvres de ma partenaire autour de mon sexe. Horrible d’entendre leurs cris qui ponctuaient le plaisir qu’elle me procurait ; et aussi, contre toute attente, surexcitant de m’abandonner sans retenue à ses caresses expertes devant tant de personnes. Stéphanie continuait, accélérait même ; et le rythme des acclamations autour de nous s’accélérait aussi. Je n’allais pas tarder à jouir. J’accompagnai quelques dernières fois les mouvements effrénés et, geignant soudain, je me contractai, mes mains crispées sur la tête de Steph, qui me pompa encore un peu tandis que j’éjaculai par spasmes au fond de sa bouche avide. Le temps me sembla s’arrêter, le bruit disparut, la musique, les cris, tout ; j’étais dans un silence nimbé, seul ; seul avec Stéphanie, avec mon plaisir pur comme seule sensation… Mais cet instant magique ne dura guère : je redescendis sur terre, ma partenaire me branla une dernière fois en suçotant mon gland du bout des lèvres. Les hurlements et les applaudissements avaient redoublé autour de nous pour devenir presque une véritable ...
    ... ovation. Le plaisir de la jouissance quittait peu à peu mon corps pour laisser place à une indicible honte. Je parcourus rapidement des yeux l’assemblée qui nous environnait ; tous ou presque étaient hilares, ravis, acclamant Stéphanie, leurs yeux rivés sur elle et sur ma bite. Ma collègue me lâcha enfin et se releva tandis que je rangeai mon sexe et me rhabillai maladroitement au plus vite. De nouveaux vivats saluèrent encore ma compagne lorsque, une fois debout, elle tourna son regard tout autour d’elle pour découvrir l’ampleur de l’exhibitionnisme auquel nous nous étions livrés, et le délire fut même à son comble lorsqu’elle déglutit ostensiblement en fermant les yeux et en souriant. Honteux, gêné, à la fois pour moi et pour elle, je pris Stéphanie dans mes bras, et la serrai fort contre moi. Elle m’embrassa dans le cou à plusieurs reprises. Puis je l’entendis me bredouiller à l’oreille quelque chose comme : — La suite tout à l’heure… Mais je n’eus pas le loisir de lui répondre. L’ignoble voix du DJ s’éleva soudain de nouveau à travers la techno assourdissante : — Je pense que, même si elle en a déjà eu une, nous pouvons offrir une boisson gratuite à la demoiselle… Sa blague et sa largesse furent saluées d’un nouveau concert de hurlements approbateurs. — …ainsi qu’à son compagnon. J’ajoute que si la demoiselle n’est toujours pas rassasiée, je reste à sa disposition. Encore une fois, les gens rigolèrent bravement. Stéphanie restait blottie dans mes bras tandis que plusieurs ...