1. Ma Logeuse Ch. 06


    Datte: 05/05/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... Docilement, j'introduisis ma langue dans son vagin, me noyant dans un flot de sécrétions douceâtres que j'avalais avec délectation, je continuais un moment à agiter ma langue au plus profond d'elle. Je sentais sa mouille couler doucement sur mon menton et je devinais, à sa respiration haletante et au rythme plus rapide de sa caresse qu'elle approchait de l'orgasme, elle souffla dans un sorte de soupir « Oui...vas-y...surtout n'arrête pas » Je n'avais pas l'intention de m'arrêter et je continuais ma tâche avec application, perdu dans cet univers de goûts et d'odeurs. Soudain, elle se raidit, laissant échapper une plainte douloureuse tandis que son corps s'arc-boutait sur le lit. Coincé entre ses cuisses qui m'écrasaient, je ne pouvais plus bouger et je restais là, sentant ses sécrétions couler doucement dans ma bouche. Puis elle retomba, affalée sur le lit, tentant de reprendre sa respiration et relâchant l'étau de ses cuisses. Je n'osai pas bouger, le visage toujours plaqué contre sa vulve trempée. Au bout d'un moment, elle reprit ses esprits et se remit à l'aise sur sa couche. « Tu peux aller ...
    ... te recoucher maintenant » Elle avait dit cela doucement, sans le moindre remerciement. Descendant du lit, je me rallongeai sur le tapis, le visage collant, inondé par l'odeur fauve de sa mouille qui m'emplissait les narines et par sa saveur acidulée sur ma langue. La douleur aiguë provoquée par la cage me maintint longtemps éveillé tandis que j'entendais à sa respiration lourde, qu'elle s'était immédiatement endormi. Le lendemain matin, elle devait partir tôt, je fus réveillé par le bruit de la douche, j'avais encore pas mal de temps devant moi avant de partir pour l'école. Je me levai et descendis préparer notre petit déjeuner. Quand elle me rejoignit, elle était déjà habillée. « J'ai juste le temps de prendre un café et j'y vais » Elle se servit une tasse de café chaud et la but rapidement, soufflant dessus pour la refroidir puis reposant la tasse vide sur la table « Bon, aller...j'y vais...à ce soir » Elle se pencha pour me faire la bise et me lança, avec un sourire moqueur. « Tu devrais aller te débarbouiller, tu sens la femme.. » Prenant ses affaires au vol, elle partit presque en courant. 
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