1. Ma Logeuse Ch. 06


    Datte: 05/05/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Je me réveillai tôt le matin comme d'habitude, tourmenté par la douleur lancinante dans mon bas ventre. Je me levai en silence. Hélène était couchée en chien de fusil sur sa couette, me révélant ainsi l'intégralité de son corps voluptueux. Je n'avais qu'une envie, c'était de m'allonger contre elle et de la serrer dans mes bras, de sentir la chaleur de sa chair, de m'imprégner de l'odeur de sa peau. Je descendis sans bruit dans la cuisine pour préparer le petit-déjeuner. Elle descendit peu de temps après, revêtue de son habituelle robe de chambre. Nous déjeunâmes en silence, non pas que cela révèle une quelconque gène, mais c'était au contraire le signe d'une nouvelle complicité. « Va me faire couler mon bain » Je me précipitais dans la salle de bain et ouvrit les robinets et tâtant la température de l'eau. Elle arriva au bout d'un instant et laissa tomber sa robe de chambre, me dévoilant à nouveau sa nudité. Je l'avais vu plusieurs fois nue depuis la dernière fois et je ne ressentis pas le même choc, mais j'étais toujours émerveillé par ses formes pleines. « Ben alors, tu oublie tous tes devoirs? » Comprenant ce qu'elle voulait dire, je me penchais pour lui embrasser les pieds. Levant une main, telle une reine qui attend un baise-main, elle entra dans la baignoire. « C'est bien Esclave, tu peux disposer » C'était la première fois qu'elle m'appelait ainsi et j'en ressenti comme un frisson et sortant de la salle de bains. Une demi-heure après, elle m'appela depuis sa chambre. ...
    ... Elle était assise sur son lit, en sortie de bain, une serviette enroulée autour de ses cheveux. « Il faut refaire le vernis de mes pieds. Je vais t'apprendre... » Je passais la demi-heure suivante à enlever le vernis écaillé, passer une, puis deux couches d'un vernis vermillon sur ses ongles, suivant le mieux possible les instructions qu'elle me donnait. « Bon..c'est pas trop mal...tu vas t'améliorer avec le temps » Je frémis intérieurement en comprenant que je serai désormais son valet de pied. « Tu peux aller continuer ce que tu faisais » Je quittai sa chambre pour retourner à mon ménage. J'étais en train d'épousseter les étagères du salon quand elle descendit. Je restais un instant subjugué par sa tenue. Je ne l'avais jamais vu habillée comme cela. Elle avait enfilé une robe brodée en satin noir, arrivant aux genoux, et mettant en valeur ses formes épanouies. Elle était simplement sublime. En me fixant dans les yeux, elle tira de son corsage une chaîne en or, sur laquelle était accrochée la clé dorée qui ouvrait ma cage. « Tu vois, maintenant, je la porte toujours sur moi...si quelqu'un me demande ce que c'est, il faudra bien que je le lui dise » Je pâlis devant l'éventualité qu'elle expose à tous mon humiliant secret. Remettant sa chaîne dans sa robe, elle ajouta : « Bon, je sors...ne m'attends pas ce soir...si tu veux, tu peux dormir dans ma chambre...c'est toi qui choisis » Je passais une journée étrange. J'étais sûr qu'elle allait rejoindre Bertrand et qu'ils allaient ...
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