1. Une professionnelle dévouée


    Datte: 05/05/2021, Catégories: Anal Mature, Partouze / Groupe

    ... c’est… mon mari me trompe, avouais-je en éclatant en sanglots non simulés.- Mon dieu, je suis désolée… Comment l’as-tu appris ?- Je l’ai surpris dans son bureau avec une stagiaire…- Quel salaud ! Vous êtes séparés ?- Non, j’ai décidé de rester pour les enfants, mais nous ne nous parlons plus du tout. Du coup je suis paumée et je me réfugie dans mon travail, tu comprends ?- Oui, bien sûr ! Ma pauvre, viens là…Et sur ces mots, elle me prend dans ses bras et me sert fort en me disant des mots réconfortants. Je n’avais jamais évoqué cette tromperie avec quiconque et en parler me soulageais. Par ailleurs, la tendresse et la chaleur de Virginie me faisaient énormément de bien et j’aurais pu rester des heures ainsi serrée contre mon amie.Elle me libère de son étreinte et hôte mes lunettes pour essuyer mes larmes tendrement avec son pouce. Elle laisse sa main sur ma joue et la caresse en continuant à me chuchoter des gentillesses. Ses yeux sont plongés dans les miens et sans que je m’en rende compte, son visage semble se rapprocher du mien. Elle me pose un baiser sur la joue en me disant :- Tu es très belle Séverine et tu n’as pas besoin d’en faire autant pour plaire aux hommes… ou aux femmes. Une femme ne te ferait pas souffrir comme ton mari l’a fait.Elle hésite un instant, puis pose un tendre baiser sur mes lèvres. Je suis alors prise au dépourvu et ne peut rien faire ni dire. Cette jeune femme est absolument magnifique et pourrait avoir tous les hommes du monde. Je ne m’attendais ...
    ... pas à ce qu’elle aime les femmes en général et moi en particulier.Suite à ce petit baiser, nous nous regardons intensément en attendant que l’une ou l’autre prenne la parole. Mais au lieu de ça, il se passe comme un éclair, un « instant » et nous nous jetons l’une sur l’autre. Nos lèves se touchent d’abord timidement, puis s’ouvrent pour que nos langues se mêlent. Elle passe sa main dans mes cheveux pendant que nous nous embrassons fougueusement. Je commence à m’allonger avec elle sur le bureau lorsque quelqu’un frappe à la porte.Nous nous séparons en une seconde, moi réajustant mon coiffure et elle retournant à son bureau.- Entrez ! La secrétaire du patron passe alors la tête dans le bureau.- Séverine, M. Roland demande à vous voir.- Merci, j’arrive.Je m’empresse alors de sortir du bureau pour éviter toute situation embarrassante avec Virginie, repoussant les explications sur ce qui vient de se passer, un dérapage comme je le pensais alors.M. Roland ne voulais pas spécialement profiter de mes « compétences » (il y avait du monde dans les locaux à cette heure de la journée) mais m’a demandé de me rendre, demain, à une réunion de chantier, a priori sans problème particulier à traiter. Il m’a demandé comment s’était passé mon rendez-vous. J’ai soulevé ma jupe pour lui montrer mes portes jarretelles et mon absence de culotte en répondant « plutôt bien… ».A mon retour dans le bureau, l’ambiance était glaciale avec Virginie… Nous étions toutes les 2 horriblement gênée. Je trouvai ...
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