1. Une professionnelle dévouée


    Datte: 05/05/2021, Catégories: Anal Mature, Partouze / Groupe

    ... métro.- Oh oui, mon dieu, tu vas me faire jouir, dis-je en criant de plaisir- Mmmhh toi aussi, ma chérie, tu vas me faire jouir ! me répondit-elle en me regardant par-dessus ses lunettes lui donnant un air de petite salope.Le plaisir continua de monter jusqu’à ce qu’un orgasme puissant nous foudroie en même temps et nous arrachent un énorme gémissement de jouissance. Le frottement de nos sexes se calme un peu et mais nous restons encore dans cette position le temps que les derniers spasmes de plaisir cessent.Puis Virginie vient s’allonger contre moi et, le souffle court, m’embrasse amoureusement. Nous nous enlaçons encore de longues minutes, ainsi nues sur le sol de mon bureau, avant de nous rhabiller.Virginie finit par me dire qu’elle est bisexuelle mais qu’elle ne sort qu’avec des filles depuis plusieurs années suite à plusieurs déceptions avec la gente masculine. Elle n’a pas renoncé aux hommes, elle s’en est « éloigné » pour le moment. Puis elle me demande si j’avais déjà fait cela avec une femme.- Non, c’était la première fois, répondis-je en mentant. Mais c’était excellent, Virginie ! Tu es une femme superbe.- Toi aussi, Séverine, tu es magnifique. Mais tu n’as vraiment pas besoin de te comporter comme cela avec les clients pour oublier ton mari. Je vais m’en occuper…- Tu sais, c’est plus compliqué que cela… Mais je veux bien que tu essaies !Après un dernier baiser, nous rentrons chacune chez nous. Dans la voiture, mon cœur battait très fort en repensant à Virginie, ...
    ... à son corps et à cette séance de sexe lesbien extraordinaire, uniquement faite de tendresse et de jouissance… comme dans un rêve. Je ne le savais pas encore, mais le lendemain allait me ramener à une réalité plus bestiale…Suite :Le lendemain matin, je me rendis directement sur le lieu de la réunion de chantier dont m'avait parlé mon patron, celui-ci étant assez loin. La visite des travaux en elle-même se passa bien et je me disais que je serais rentrée à la maison rapidement. Mais une fois dans l’algeco du chef de chantier, je sentis la tension monter.Les gérants d’une société sous traitante, les frères Da Silva, nous y attendaient pour se plaindre des délais de paiement. J’ai insisté sur le fait qu’il s’agissait d’une sous-traitance, que cela ne nous concernait pas et qu’il fallait voir cela avec le chef de chantier. Mais celui-ci refusait de payer, prétextant une close dans notre contrat. Bref, un dialogue de sourd s’est installé et cela pouvait vite dégénérer.Je demande donc aux Da Silva de nous laisser un instant pour régler cela en privé avec le chef de chantier. Nous rentrons dans le préfabriqué et je lui dis alors fermement qu’il a choisi de sous-traiter et que donc c’est à lui de payer. Mais il me sort notre contrat et me montre un article qui précise qu’effectivement, dans des cas bien particulier, cela pourrait être à nous de payer.Sa position était bancale et mais il n’est pas dit qu’en cas de recours, la situation aurait tourné en notre faveur. Bref, je pris le ...
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