Une professionnelle dévouée
Datte: 05/05/2021,
Catégories:
Anal
Mature,
Partouze / Groupe
... n’était pas vraiment un défi pour moi mais il ne me ménageait pas pour autant. Je recrachais de longs fils de baves qui venaient souiller mon débardeur blanc, entre mes seins. Sans vraiment me demander mon avis, il commença à enlever mon haut. Je fis non de la tête en essayant de le retenir mais il insista :- Avec le cheque que je viens de faire, je peux au moins voir les nibards d’une directrice adjointe ! Et puis, vous allez finir par le tacher, votre beau débardeur…Son sexe toujours plantés au fond de ma bouche, je finis par céder et le laisser enlever mon haut. Je me retrouve donc en soutif en train de sucer cet homme qui travail pour ma boite…Soudain, il se retire de ma bouche, et me demande de m’allonger sur la table centrale de l’algeco. Puis, ainsi sur le dos, il me penche la tête en arrière et, depuis le bord de la table, se remet à me baiser la bouche. Dans cette position, je ne peux absolument rien faire et suis obligée de subir la fellation. Il en profite aussi pour me ploter les seins sur et sous mon soutien gorge. Il faut vraiment que ça se finisse vite car je sens que ça peut dégénérer à tout moment.Se penchant sur moi, il tente de déboutonner mon jean et de passer sa main en dessous. Mais je considère alors que ça va trop loin et me dégage d’un coup.- Tout doux ! lui dis-je alors. C’est une pipe et rien d’autre !- Pardon ?!? 15 000 € de travaux pour une pipe ?? Vous êtes plutôt chère Madame…- Non, non… C’est 15 000€ qui sont de toute façon à votre charge et ...
... la pipe, c’est un geste commercial de notre part…. nuance ! Mais je peux aussi m’arrêter là, si cela ne vous convient pas…- C’est bon, continuez… j’admets que vous êtes carrément douée ! dit-il finalementReprenant le contrôle de la situation, je me remets à genoux devant lui et lui gobe la bite, l’avalant entièrement à chaque aller-retour, lui pompant le gland, lui léchant les couilles. Cette fois, vu ses râles, je sais qu’il va craquer d’un instant à l’autre. D’ailleurs, il me prend la tête par les cheveux, me cale sa queue au fond du gosier et se vide directement dans mon estomac. Son foutre chaud est abondant et épais, je suppose que cela fait un moment qu’il ne s’est pas soulagé. Je retire un peu son sexe de mon gosier pour reprendre ma respiration et le laisse finir de se vider dans ma bouche.J’aspire les dernières gouttes et donne encore quelques petits coups de langues sur sa queue quand j’entends soudain derrière moi une voix s’écrier :- Et bien, en s’emmerde pas ici !Je me retourne alors effrayée vers la porte de l’algeco et découvre les frères Da Silva à l’entrée, sourire aux lèvres. Je ne peux absolument rien dire pour ma défense : je suis en soutien gorge, jean ouvert, à genoux devant mon maitre d’œuvre, du sperme dégoulinant encore de la bouche. Lui-même a le pantalon baissé et la bite à l’air. Je m’attendais à ce qu’il les engueule ou essaie de s’expliquer mais je l’entends dire :- Ça c’est du timing impeccable, les gars ! Je viens de terminer, à votre tour, ...