Une professionnelle dévouée
Datte: 05/05/2021,
Catégories:
Anal
Mature,
Partouze / Groupe
... était en train de remplir. J’étais entièrement recouverte de sperme, tout mon visage n’était que foutre tiède dégoulinant, j’en avais dans les cheveux, sur la poitrine et une mare de liquide blanchâtre stagnait entre mes jambes. J’avais un œil fermé depuis qu’un jet chaud m’avait atteint à cet endroit. Ma bouche grande ouverte récupérait ce qui dégoulinait de mon visage.Mais cette séance de pure débauche humiliante n’était pas tout à fait finie car l’autre arriva avec son mug rempli de foutre dont le plus gros sortait de moi et était sans doute maintenant froid. D’habitude j’aime le sperme, mais froid et dans ce contexte, j’en étais dégoutée d’avance. Pour abréger l’épreuve, je bus le mug cul sec, en plusieurs gorgées successives, devant les ouvriers impressionnés en train de se rhabiller.Muller qui n’avait pas joui lors de cette dernière séance voulu m’humilier à sa manière. Il sortit son sexe mou et commença à me pisser dessus ! Son jet d’urine vint d’abord me souiller le ventre et la poitrine. Puis il visa mon visage mais je réussis à me protéger à peu près avec mes mains. Les dernières gouttes tombèrent au sol et il rangea sa queue. Il me félicitât finalement pour ma prestation en me crachant au visage et ordonna à ses ouvriers de reprendre le travail. Puis il s’adressa aux frères Da Silva, rhabillés et restés en retrait jusqu’à maintenant :- Bon, les portos, vous pouvez en faire ce que vous voulez maintenant… la trainée est à vous !Et il sortit de son bureau. Miguel et ...
... Manuel, déboussolés et énervés durent avoir pitié de moi car ils ne se finirent pas et, au contraire, m’aidèrent à me nettoyer et me rhabiller. J’étais ravagée, humiliée, épuisée et incapable du moindre mouvement. C’est eux qui m’ont remis mes vêtements et ils n’abusèrent à aucun moment de la situation. Ils me reconduisirent à ma voiture mais devant mon état de fatigue proposèrent de me ramener chez moi.Nous arrivèrent en milieu d’après midi à la maison, qui était heureusement vide et ils repartirent après que je les ai remerciés. Je pris une douche en pleurant et passa le reste de la journée à dormir.Même si les Da Silva n’avaient pas jouis aujourd’hui, je peux vous assurer qu’ils se sont ensuite rattrapés car, en remerciement, j’ai fait en sorte que mon entreprise fasse souvent appel à leur service en traitant à chaque fois l’affaire moi-même avec le plus grand soin…Quand à M. Muller, ses locaux ont accidentellement brulés quelques mois plus tard et il paraît qu’il a été agressé par deux inconnus. Il aurait ensuite déménagé sans donner de nouvelles.Suite :Après une nuit rendue agitée par les souvenirs de cette terrible journée, la douleur dans mes orifices et la sensation que mes nouvelles fonctions finiraient par avoir ma peau, je retourne au bureau avec les traits tirés. Rien de spécial de prévu aujourd’hui, des coups de fils, des mails à traiter… rien qui puisse m’emporter à nouveau dans les extrêmes d’hier.Virginie remarque sans difficulté mon visage marqué et est au ...