29 juin -5 juillet
Datte: 07/05/2021,
Catégories:
fh,
extracon,
ascendant,
freresoeur,
enceinte,
amour,
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
photofilm,
Oral
fgode,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
gifle,
orties,
... interrogateur. Elle semble un peu hésiter, s’approche : — Heu !… Samedi… on avait parlé de… enfin que l’on ferait un essai avec la « culotte Bernard » avec les deux…— Godemichés. Elle acquiesce d’un léger signe de tête. Ce n’est pas Dieu possible, on dirait qu’elles se sont données le mot. Enfin, bon, je ne vais pas me plaindre que mes chéries aient des idées coquines, même en concomitance. « Bis repetita placent ». Nous faisons le remake de ce qui s’est passé quelques minutes auparavant avec la mère, en prenant toutefois un peu plus de précautions avec son petit trou. Je peux enfin finir de m’habiller. La transmission de pensée n’a pas atteint Dominique. Nous partons ensuite, comme nous l’avions projeté deux semaines plus tôt, visiter l’exposition sur Ramsès le Grand au Grand Palais. Durant le trajet qui nous emmène vers les splendeurs de l’Égypte, si Anne reste parfaitement naturelle, Gwendoline n’arrête pas de se trémousser sur son siège, au point que sa mère, assise à ses côtés et souvent bousculée, lui demande d’arrêter de gigoter. Il s’ensuit un échange à la fin duquel Gwendoline avoue qu’elle porte la « culotte Bernard » avec sa double garniture. Anne s’étonne : — Avec les deux ? Et la fille d’expliquer qu’ayant vu les photos de Julouville où sa mère se faisait prendre par son petit trou, elle a voulu essayer, que samedi soir avait eu lieu l’inauguration et qu’aujourd’hui elle porte sa « culotte spéciale » pour faciliter les choses par la suite. Anne, très digne, ...
... réplique : — Apparemment, tu as l’air d’avoir du mal.— Non. Mais ce n’est pas facile de rester sans réagir.— Ce n’est pas si difficile que ça.— Dans le métro, avec les vibrations, je voudrais t’y voir.— Hé bien, tu vois ! Ce n’est pas infaisable. Gwendoline met quelques secondes à réaliser : — Tu veux dire que… ?— Je veux dire. Bernard a eu l’air de juger que ne pas porter de culotte pour sortir n’était pas correct. Comme je n’en avais pas stock, je lui dis que celle qu’il m’avait fabriqué ferait très bien l’affaire. Et voilà. Dominique me regarde : — Ah bon ! Tu as changé ton fusil d’épaule, tu n’aimes plus que l’on se balade sans rien sous la jupe ? Je proteste véhémentement que jamais je n’ai dit une chose pareille, que mes propos ont été déformés ou mal interprétés. — Dans ce cas, si tu es pour, ça tombe bien. J’ai chaud, enchaîne Dominique. Elle retire son slip qu’elle me fourre dans la main. Heureusement que le wagon est peu occupé. Personne alentour n’a l’air d’avoir remarqué quelque chose. Et toutes trois de pouffer. Je dois faire une drôle de tête. Nous arrivons à Champs-Élysées ce qui m’évite d’avoir à subir les railleries de ces dames. L’exposition est passionnante, autant que celle consacrée à Toutânkhamon en 1967. Je n’avais que dix-sept ans à l’époque, mais j’étais allé la visiter trois ou quatre fois. Anne aussi s’en souvient. Durant la visite, j’ai bien été tenté d’avoir les mains baladeuses, mais il y avait vraiment trop de monde. Il est plus de 15 heures quand ...