Histoire d'un week-end
Datte: 07/05/2021,
Catégories:
f,
ff,
intermast,
Oral
69,
fdanus,
tutu,
confession,
nostalgie,
... tout en continuant à me lécher, et très vite moi aussi je me cambre et je lâche un petit cri de plaisir. Tu reviens m’embrasser. Nos salives et nos liqueurs se mélangent dans nos bouches en un cocktail délicieux. Tu me tiens par la main et tu me fais visiter ta maison. Nous sommes nues et sans plus aucune gêne. Chaque endroit est l’occasion d’une anecdote sensuelle ; la chambre de ta grande sœur si complice où tu entrais discrètement pour visiter les tiroirs de ses dessous, où aussi tu es entrée une fois par mégarde et tu l’as trouvée nue avec son copain nu également. Tu t’étais enfuie, te sentant trahie. Là, la chambre de ton frère où tu as appris ce qu’était la masturbation masculine. Le coin discret de la bibliothèque où tout en haut, derrière des ouvrages sérieux, il y en avait d’autres qui l’étaient beaucoup moins ainsi que des DVD. « Si tu veux, ce soir on en regarde un. » Le grenier, où tu te cachais pour lire les fameux livres licencieux, où tu aimais venir te caresser, où tu amenais tes petites copines, comme toi avides de découvertes et d’excitations nouvelles. Tu m’as fait asseoir sur les coussins, tu t’es assise à côté de moi, tu m’as embrassée et tu m’as caressée. Je t’ai laissée faire, passive, comme si de cette façon j’entrais un peu dans ta vie. Nous avons mangé devant la télé. Tu as mis le DVD d’un vieux film où une jeune blondinette vierge se caresse souvent et rencontre d’autres blondinettes. Les filles sont belles ; le film est très excitant, surtout à ...
... la fin lorsque la copine de la blondinette la pénètre avec une carotte qu’elle ressort rougie de sang. En général je n’aime pas les films pornos. Je les trouve vulgaires et très peu sensuels. Là, ce n’est pas le cas : le film est joyeux, et surtout nous le voyons ensemble. Nous sommes enlacées et nos mains agiles soulignent les instants les plus excitants. Nous jouissons plusieurs fois. Insatiables. Nues sous ta couette, dans le noir, enlacées, nous nous racontons certaines des aventures féminines que nous avons eues. Les toutes premières – les plus excitantes – qui réveillent de nouveau nos sens et appellent les caresses. Puis nos corps rassasiés sombrent dans le sommeil. ________________________ — Tu sais quelle heure il est ? Je suis couchée sur le ventre ; tu me découvres lentement en posant de petits baisers sur mon dos. Que c’est agréable de se réveiller ainsi ! — Viens, j’ai préparé le petit déj. Mets ça, tu vas prendre froid. Tu me passes une de tes nuisettes. Tu as fait les choses bien : la théière au milieu de la table, des biscottes, divers pots de confiture et de miel, des biscuits. Nous sommes assises face à face, nous parlons peu ; j’ai besoin de temps, le matin. Je lis sur ton visage un sourire coquin lorsque je sens sous la table ton pied qui vient s’insérer entre mes cuisses. Je te souris aussi, je m’avance un peu sur ma chaise et je m’ouvre pour faciliter ta caresse tout en continuant à tremper ma biscotte. Que c’est agréable ce mélange des plaisirs ! Je ...