Nous voilà étudiants
Datte: 08/05/2021,
Catégories:
fh,
fffh,
jeunes,
Inceste / Tabou
poilu(e)s,
fépilée,
rasage,
Les années défilent et nous voilà étudiants. Tous les quatre dans la même ville. Nous proposâmes à nos parents de louer un grand appartement plutôt que quatre studios, ce qui fut fait. Deux chambres avec grand lit et un convertible dans le salon qui, bien sûr, me revint. Nous vivions en parfaite liberté érotique comme nous l’avions toujours fait, nus la plupart du tant ou en sous-vêtements pour les filles. Nous partagions la salle de bain tout naturellement, nous frôlant volontiers, recherchant même, elles autant que moi, ces contacts. Je pouvais tout à loisir profiter de la vue du corps de mes cousines devenues de vraies bombes. Mais c’était naturel, ainsi que nous l’avions toujours accepté. Il n’y a guère que mes fréquentes séances de masturbation que je pratiquais en solitaire émoustillé par leurs petites culottes dans la corbeille à linge ou traînant n’importe où. Le reste du temps, l’essentiel, était consacré à nos études. Les trois cousines inventaient des jeux, toujours tournant autour du contact physique et toujours fortement teinté d’érotisme. Mais c’était ça qui nous attirait et nous réunissait. Un jour, elles décidèrent que je devais les habiller. Nous étions bien sûr tous nus. Elles avaient vidé leur tiroir de lingerie sur la table et, comme elles avaient toutes la même taille de poitrine, je pouvais mettre ce que je voulais à chacune. Pas facile d’agrafer un soutien-gorge, pas facile de glisser sa main dans un bonnet pour remonter un sein quand votre propre sexe ...
... est en contact avec une paire de fesses et que vous sentez s’écraser, dans votre dos, les seins d’une autre. Elles me tournaient autour, toutes les trois, me frôlant, me collant. Et pour enfiler une petite culotte, il faut lever un pied, puis l’autre, remonter le long des cuisses et surtout vérifier qu’il n’y a pas de pli entre les jambes, derrière et devant. Il faut, du plat de la main, remonter en lissant bien, l’index légèrement en crochet pour que toutes les formes soient bien épousées. Pour que le travail soit parfait, il convient de faire un deuxième passage de la main, bien lentement, et en vérifiant bien la position de l’index. Il faut ensuite soulever le côté de la culotte et tenter, souvent avec plusieurs doigts, de faire disparaître derrière cette fine barrière de dentelle, les poils en broussaille. Et pour les trois filles, procéder de même. Quelle chaleur, collé à mes trois mannequins qui, subrepticement, m’attrapent par le sexe, le triturant, le malaxant. Quelle chaleur ! Mais je sais qu’elles ne m’abandonneront pas ainsi. Les filles sont joueuses, c’est bien connu. * * * * * Cet été, Marie-France, Martine et Evelyne doivent aller passer deux semaines sur la côte, pour un stage musical. Il y aura certes du travail mais aussi de la détente avec des séances de bronzette sur la plage. Nous sommes donc allés acheter des maillots de bain dans un grand magasin. Elles avaient besoin de mes conseils, disaient-elles, puisqu’elles n’en portaient jamais lorsque nous nous ...