1. Nous voilà étudiants


    Datte: 08/05/2021, Catégories: fh, fffh, jeunes, Inceste / Tabou poilu(e)s, fépilée, rasage,

    ... allant à chaque fois faire bouger les poils, non coupés. — Ça fait du bien ! apprécia-t-elle. Le deuxième côté subit le même traitement, rasage et léger massage apaisant. Ce faisant, je jetai un œil à ses lèvres désormais parfaitement visibles, et constatai, non sans une certaine émotion dans mon caleçon, que ma cousine avait éprouvé un plaisir certain à cette opération. Mais je continuai à feindre de n’avoir rien remarqué. L’opération terminée, elle se leva, se rendit à la salle de bain, vraisemblablement pour éponger ses sécrétions, et revint enfiler son maillot de bain. Parfait ! Aucun poil ne dépassait. Très consciencieusement, je passai mon doigt légèrement à l’intérieur de la culotte pour vérifier qu’il n’y avait pas de risque de débordement, inspectant bien, très professionnellement, les deux côtés, lui demandant de lever une jambe, puis l’autre afin que rien n’échappe à mon inspection. Parfait ! — À la suivante ! Et je pratiquai la même opération sur mes trois cousines, ce qui nous occupa une partie de la soirée, me maintenant, après avoir vu s’écouler de ces trois sexes une substance que j’aurais bien volontiers nettoyer moi-même, dans un état d’érection important. Lorsque tout fut terminé, elles virent bien mon état, et je pense qu’elles l’avaient vu depuis longtemps, m’attrapèrent, me jetèrent sur le lit, me déshabillèrent et me couchèrent sur le dos. Je fermai les yeux et sentis des mains, beaucoup de mains me parcourir, me palper et enfin me masturber. ...
    ... Laquelle avait fait quoi ? Peu importe, j’avais été soulagé par mes cousines, et c’est ça que j’appréciais. Douche pour tout le monde, moi pour laver mon sperme qu’elles avaient étendu jusqu’à mon torse, les filles pour rincer le savon et rendre plus présentable leurs sexes. Les trois, comme pour étrenner leur nouvelle « coiffure » enfilèrent chacune une petite culotte blanche, à travers lesquelles on voyait parfaitement leur toison brune. — Que vous êtes belles, mes cousines ! leur dis-je, les embrassant chacune très affectueusement. Assise dans le canapé, Martine, qui avait craint le feu du rasoir me dit : — Tu serais sympa, cousin, si tu me passais un peu de pommade, ça me brûle. Je pouvais comprendre ça, sachant parfaitement comment peut irriter un rasoir. — Écarte les jambes ! lui dis-je. Et me voilà, massant l’aine de ma cousine, un grain de pommade sur l’index, faisant des arcs de cercle qui m’amenait à toucher sa petite culotte. — Attention de ne pas la tâcher, elle est toute neuve ! s’inquiéta-t-elle.— Quitte-la, ce sera plus pratique. Ce qu’elle fit, reprenant sa position, jambes ouvertes. Je n’étais pas encore habitué à la nouvelle présentation de leur pilosité, mais j’étais assez satisfait du résultat, qui me permettait de voir, puisqu’elles n’étaient plus dissimulées, les lèvres si belles de mes cousines. Je repris mon massage, toujours en petits cercles qui passaient de plus en plus près des poils, finissant par les toucher de plus en plus. Je fis semblant de ne pas ...