Maman : ma mère, ma maîtresse, ma femme (3)
Datte: 08/05/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... rigoler Maman. — Ah, cette fois, tu ne diras pas qu’il s’agit des autres filles, elles sont trop lointaines ! C’est bien moi qui te fais cet effet. Allez, aies le courage de le reconnaître ! — Oui Maman, c’est toi. Je t’en demande pardon. Mais tu es vraiment trop belle, trop sexy, tellement attirante, tellement désirable… — Pourquoi m’en demander pardon ? Je suis heureuse, et même fière que tu me trouves belle. Par contre, quelque chose m’échappe. Pourquoi t’intéresser à mon corps de femme de 40 ans, toi qui en as 20 de moins, et qui dois avoir plein de petites copines ? Je pris une longue inspiration, et finis par lui avouer tristement : — Je n’ai pas de petite copine. Et même, je n’ai jamais eu de petite copine. — Quoi ? A 20 ans, et plutôt beau garçon ? Tu ne me feras pas croire çà. — C’est pourtant la vérité. — Tu veux dire que tu n’as jamais couché avec une fille ? Même pas une prostituée pour débuter ? — Rien, je te dis. Je me satisfais… tout seul. Et là, Maman va me planter un coup de poignard totalement inattendu. — Oui, je sais que tu te fais plaisir en solitaire, encore heureux ! Mes sous-vêtements et mes chaussures en savent quelque chose, vu que tu les trempes sans arrêt de ton sperme ! J’étais estomaqué. Ainsi, elle savait ! — Mais… depuis quand sais-tu cela ? — Depuis quelques mois. J’ai vite compris, à force de poser la plante de mes pieds sur un fond de chaussure poisseux, ou de sentir une humidité suspecte… et odorante sur mon sexe et mes seins en passant ma ...
... lingerie ! — Pourquoi ne m’en as-tu jamais parlé ? A son tour, ce fut elle qui sembla très embarrassée. Baissant les yeux, elle avoua : — Parce que… parce que ce n’était pas facile de parler de çà, et puis je… j’aimais çà, surtout dans mes culottes et mes soutiens-gorge, ça me plaisait que tu te sois donné du bon temps en pensant probablement à moi. Et j’adorais humer l’odeur de ton sperme. Tu vois, nous sommes quittes. Mais cela dit, je croyais que je n’étais qu’un petit « plus » pour toi, et que tu t’amusais avec des filles. — Non, vois-tu, tu as toujours été mon unique… partenaire. C’est pour toi que je me masturbe, pour toi seule. Avais-je été trop loin ? Maman repassa immédiatement sa jupe, son débardeur, et retourna sans dire un mot vers la voiture. Retour silencieux sur Biarritz. Voilà, j’ai tout gâché, par mes aveux trop sincères, quel idiot je fais ! Ce soir-là, dans le studio, elle a remis un t-shirt et un short, me cachant ses appâts. Valérie ne me fait pas vraiment la tête, mais elle paraît dubitative, ne sachant quelle attitude adopter. Poursuivre à l’identique ? Ambigu. Revenir en arrière ? Hypocrite. Allez plus loin ? Dangereux. L’ambiance sera lourde. Arrive l’heure du coucher. Au dernier moment Maman enlève son short, sa culotte et son t-shirt, et se couvre de suite du drap. Je suis mortifié. Ainsi, tout serait donc terminé ? Après tant d’espoirs ? Pour la première fois depuis longtemps, je ne bande pas en sa présence. C’est alors que me parviennent comme la ...