Maman : ma mère, ma maîtresse, ma femme (3)
Datte: 08/05/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... rompre un peu le charme. Elle se relève de suite, et file dans la salle de bain se laver les mains. Elle en ressort, toujours nue, une serviette en papier à la main. Elle va consciencieusement m’essuyer le torse et le ventre. J’aurais aimé qu’elle lèche mon sperme, ou qu’elle le récupère pour l’étaler sur elle, mais je suis décidemment trop exigeant et impatient… Ce qui vient de se passer est déjà formidable. Mais de suite, pointe une inquiétude chez moi : — Merci ma petite Maman, c’était vraiment super. Mais dis-moi, on le refera ? — Peut-être, je ne sais pas encore, on verra… Malgré cette incertitude, je vais enfin m’endormir, apaisé, serein. Chapitre 5 Fellation inaugurale Le lendemain matin, dès le réveil, je suis totalement rassuré. Sans la moindre gêne, Maman évolue complètement à poil dans le studio. Quand je précise « à poil » c’est dans tous les sens du terme. Je peux enfin détailler sa foufoune. Celle-ci est garnie d’un buisson noir bouclé et particulièrement épais. Et elle exhibe aussi des petites touffes sous les aisselles. Je trouve cela sexy, mais peut-être excessif. A présent que nous avons commencé à aborder le domaine sexuel, je dis à Maman ce que 24 heures auparavant je n’aurais jamais osé : — Maman, tu devrais tailler et raser un peu de tes poils, ça fait fouillis ! Je m’attendais à une réponse du genre « je t’interdis de parler de çà », ou « ça ne te regarde pas », mais elle me répondit, en baissant les yeux vers son ventre : — Tu crois ? Oui, tu as ...
... peut-être raison, je devrais le faire. Sur ce elle alla procéder à sa toilette. Par la baie vitrée, je regardai la Grande Plage de Biarritz, superbe, le ciel était d’un bleu limpide, Maman dans de bonnes dispositions, la journée s’annonçait bien. Mais avec toujours des incertitudes qui me tenaillaient. Allions-nous aller plus loin dans notre relation ?... Maman, dorénavant nue en ma présence, ressortit de la salle de bain. — Je n’ai pas marché avec des chaussures ce matin, mais j’aimerais que tu t’occupes de mes pieds, comme tu sais si bien le faire ! Même si j’adorais ce rituel entre nous, il me paraissait bien fade à présent. Les pieds de Maman ! Certes, ils étaient toujours aussi mignons, mais comment ne m’intéresser qu’à eux lorsque j’avais à présent sous les yeux ses jambes, ses cuisses, sa chatte broussailleuse, son ventre, ses seins lourds, ses épaules !!... Néanmoins, je me pliai à ses désirs. Elle s’assit au bord du lit, et, agenouillé devant elle, je lui massai longuement les pieds, puis les léchai avec amour, suçant les orteils, insinuant ma langue entre chacun d’entre eux, parcourant la plante avec application. Mais dans le même temps, mes yeux ne quittaient pas sa chatte. Je rêvais de voir son sexe, sa fente, mais impossible avec cette forêt. Maman parut deviner mes pensées. — Fabien, tu as raison, je vais tailler mes poils, il y en a vraiment trop. — Ne rase pas tout, laisse-toi un petit triangle sympa ! — Est-ce que tu voudrais bien te charger de çà ? Tu tailleras à ...