Je suis toute seule
Datte: 11/05/2021,
Catégories:
fh,
extracon,
Oral
pénétratio,
fsodo,
exercice,
occasion,
... rire dans lequel je décèle une petite satisfaction. Ah les femmes, la compétition ne les quitte jamais, même sans enjeu. Sans enjeu ? — Et elle a raison d’être jalouse ?— Non. Enfin, sans doute non. Mais il faut bien avouer que tu as beaucoup d’attraits.— Tu trouves ?— Oui, beaucoup.— Lesquels ? Je ne me trouve pas si bien que ça.— Comme toutes les femmes. Bon, je m’engage sur un terrain un peu glissant. Je suis là, tout seul avec toi, femme d’un excellent ami, sans que personne ne le sache, dans ton salon, sur ton canapé, et je suis en train de décrire tes charmes. Dangereux, non ?— Jusque-là rien de grave. Alors ? Toujours ce sourire. — Tu es jolie, c’est vrai que j’ai un faible pour les blondes, plutôt, pardonne-moi, attirantes.— Attirantes ?— Bien faites, de longues jambes, un corps bien entretenu, un joli visage. Enfin, attirantes.— Donc je t’attire.— Je ne dois pas être le seul de la bande (« de la bande » ben voyons, plus fin, c’est possible ?) à te voir ainsi.— Et ?— Et quoi ?— Et c’est tout ?— C’est déjà beaucoup et cela justifie, pour ma femme, mais pas seulement elle, d’être un peu jalouse. Elle déplie ses jambes. — Tu les trouve jolies ? Je les trouve un peu grosses.— Tu es difficile. Non, elles sont jolies. Les jambes ont un vrai pouvoir sensuel. De plus, tu portes souvent des jupes ou robes assez courtes, suscitant encore davantage l’intérêt. J’ai bien conscience d’y aller un peu fort. Il sera difficile de rompre le contact. — Et quelle partie trouves-tu ...
... sensuelle ? Mes chevilles ? Sa main caresse sa jambe, partant du genou, descendant vers le pied, enroulant ses chevilles. Elle me regarde en souriant, ambigüe. — Tu as bien conscience qu’en faisant cela, tu excites encore plus cette sensualité. Ce jeu pourrait devenir dangereux. Elle continue de se caresser la jambe. Ma main rejoint la sienne, la couvre, sur sa cheville. Je ne sens pas encore sa peau. Mon geste peut être compris comme une volonté d’arrêter ce mouvement, ou comme celle de l’accompagner. Le temps se suspend pendant quelques secondes. Sa main remonte, et la mienne la chevauche toujours. Un doigt s’aventure et lisse le mollet, puis le genou. Point d’accroche, il est le harpon qui sauve ma main alors que la sienne s’échappe doucement, laissant ma paume sur sa cuisse douce, gainée de nylon. C’est trop tard désormais. Nous avons tous deux le sentiment que l’irréparable, cette paume sur sa cuisse, est commis. Le reste n’est rien, le Rubicond est franchi. L’instant est si sensuel que nous ne nous risquons pas à bouger, les yeux dans les yeux. Enfin, mes doigts se font plus pressants, je sens sa chair épouser la forme de ma main. Sans presser, sans trop me presser, je remonte vers la lisière de la jupe, passe sous le tissu léger, trouve ce que je n’espérais pas, la fine couture du bas, puis la chair, sa chair, chaude et souple. Ma main tourne autour de ce désir vers cet intérieur doux et chaud. Nos yeux cillent au contact de ce massage doux des deux corps. Ma main sur ses ...