1. Un dernier coup d'oeil (2)


    Datte: 05/11/2017, Catégories: Hétéro

    Résumé : Par pur hasard, j’ai découvert après six ans de mariage que Lucille, ma femme avait un goût secret pour mon sperme. Depuis je multiplie les expériences... Ce ne fut que bien plus tard, une fois Lucille couchée après s’être plaint d’un douloureux mal de dos que je pus enfin examiner l’enregistrement de la caméra que j’avais stratégiquement placée dans la cuisine. Toute la journée, j’avais été sur des charbons ardents. Bon, l’image était plus claire que le film de la salle de bains et on voyait bien mes gestes. Trop impatient, je fis avancer rapidement la séquence jusqu’à ma sortie de la pièce et là... Lucille n’attendit quasiment pas avant de mordre avec une délectation visible dans sa tartine couverte de mon essence. Les yeux clos, elle enfourna ce petit-déjeuner très inhabituel, si pervers. Je me repassais plusieurs fois la scène au ralenti. J’avais cru que le film précédent était le top, mais là, c’était bien au-delà. La voir déguster la tartine de Nutella sur laquelle je venais de jouir... Y a pas de mot !! Je me couchais, l’esprit enfiévré et toujours plus amoureux de ma femme. Sachant que je n’allais plus longtemps attendre avant de tout dévoiler, je passais une nuit à faire des rêves bizarres et oniriques. Le lendemain matin, nous avions tous deux les traits tirés, je n’étais visiblement pas le seul à avoir eu une drôle de nuit. Le travail de la journée dissipa lentement ma tension mais ce fut la promenade en forêt que nous fîmes tous les deux quand elle ...
    ... arriva peu après moi à la maison qui nous fit beaucoup de bien et nous rechargea en énergie. Nous marchions main dans la main, tout me semblait si naturel, elle était si détendue en rentrant que je commençais doucement à la serrer contre moi, la câliner, moment délicieux ininterrompu par la sonnerie du téléphone. Aargh, j’étais donc maudit ! Surtout quand je reconnus le timbre de voix de son amie Sophie, incorrigible bavarde, OK c’était parti pour une plombe. Lucille parut un peu désolée et, collé contre elle qui s’était allongée sur le canapé pour parler à l’aise, je commençais à laisser aller mes mains mais elle me tapa sur les doigts et je lâchais prise. Momentanément... Car elle avait oublié qu’elle était en jupe ample et que cela dévoilait ses longues jambes fuselées... Erreur ou était-ce inconscient ? En tout cas, je me mis à califourchon sur elle, l’enserrant et l’empêchant de se débattre. Elle comprit qu’elle aurait du mal à se débattre sans alerter son amie et puis après tout, je ne faisais pas de mal, je remontais juste un peu sa jupe. Bon d’accord, je la remontais de plus en plus tout en la caressant délicatement, comme une caresse de papillon dévoilant doucement sa petite culotte. Culotte qu’après quelques velléités, je réussis à lui enlever sans trop de difficultés et malgré quelques regards un peu courroucés. Ce « un peu « m’encouragea et je restais un long moment à la laisser s’habituer à sa semi-nudité. Je fixais le joli triangle foncé, si sensuel, si attirant. Je ...
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