1. Un dernier coup d'oeil (2)


    Datte: 05/11/2017, Catégories: Hétéro

    ... caressais ses jambes du bout des doigts, effleurant sa peau satinée, parcourant la périphérie de sa toison, le haut de ses cuisses, elle voulut me parler mais je fis un gros bruit qui l’obligea à sortir une excuse rapide à Sophie qui devait lui demander ce qui se passait. Elle dut revenir à la conversation et j’en profitais pour continuer et glisser de ses orteils au haut de ses cuisses à plusieurs reprises, lentement, très lentement jouant avec ses boucles soyeuses. Son regard était toujours colérique mais à mon sens seulement à 97, 98 % donc bon pour la continuation... Après de longues caresses, là, juste là où la peau à l’intérieur des cuisses est la plus douce, je vis comme un voile de rosée sur le bas de son joli triangle. Elle tentait encore vaguement de me repousser mais bien plus faiblement. Je picorais son corps de mes baisers, parcourant avec mes lèvres le même circuit que j’avais parcouru avec mes doigts. Quand je posais enfin ma bouche sur sa petite chatte, celle-ci, entrebâillée laissait voir le coquillage nacré et luisant de sa féminité. Je humais l’odeur de sa sensualité, enivrante, affolante pour mes sens avant de plonger ma langue en elle. — Hmmm... Et en réponse à une question de Sophie. — Un faux mouvement désolé. Cette fois, sa main me tenait. Oui, elle tenait ma tête contre elle, caressant mes cheveux, abdiquant face au plaisir que je lui procurais. Qu’est-ce que c’était bon, j’adorais, j’adore lécher, suçoter, déguster la petite chatte de ma femme et là, ...
    ... je me régalais. Ma langue furetait dans son intimité, explorant entre ses grandes lèvres, titillant la perle brûlante de la pointe de ma langue, je la sentais couler, languissante et désormais abandonnée. J’entendis plusieurs fois qu’elle perdait le fil, qu’elle bafouillait un peu, devait se concentrer sur la conversation. Sa main quitta mes cheveux un long moment et soudain, mes mains que j’avais tendues vers le haut pour caresser ses seins, furent saisies, écartées puis remises sur sa poitrine désormais accessible. Je jetais un coup d’œil et vis qu’elle avait réussi à ouvrir les boutons de son chemisier et sortir les seins des bonnets du soutien-gorge. Vision excitante, renforcée par son regard halluciné, fixé sur moi. Une main crispée sur le combiné, l’autre revenue sur ma tête me replongea sur son entrejambe trempé. Je lapais, produisant des bruits obscènes, des clapotis signalant son état. Ses cuisses devenaient doucement un étau pour ma tête et sa main, me pressaient le visage encore et encore au rythme des soubresauts qui commençaient à l’animer. Je léchais, lapais, dégustant sa mouille et entendis enfin qu’elle allait craquer, ne parvenant plus à garder plus longtemps pour elle ses gémissements et frottant le téléphone sur son chemisier en criant « allô, allô » avant de raccrocher brutalement sur un dernier « fichue ligne qui ne fonctionne jamais ! « avant de se laisser, enfin aller à gémir sans retenue une suite de Oui, Oui et autres c’est boon, encore, salaud tu me ...