On a toujours besoin d'un plus petit que soi
Datte: 12/05/2021,
Catégories:
fh,
inconnu,
taille,
poilu(e)s,
train,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
On a toujours besoin d’un plus petit que soi… Je vais vous conter ce qu’il m’est arrivé ce lundi 23 novembre 2009 pendant le trajet vers ma boite à cons. Mais tout d’abord les présentations. Pour les besoins de ce récit, je me prénommerai Zézette, sobriquet dont m’affuble régulièrement mon époux Félix sans doute en rapport avec ce film culte – bientôt de saison – le Père Noël est une ordure. Âgée de quarante-cinq ans et sans être un canon, je ne suis pas trop mécontente de mon physique, un mètre soixante-dix, cinquante-six kg (enfin bientôt car en plein régime), brune aux cheveux longs, une poitrine menue, un tantinet tombante avec des tétons toujours fièrement dressés mais qui suffit à Félix, à chaque fois qu’il la touche, pour le mettre au garde-à-vous. Comme quoi, point n’est besoin d’avoir des obus en plastique pour que le canon soit prêt à tirer. Ma chatte est recouverte d’une abondante toison dont j’entretiens savamment les bordures en prenant soin que la longueur soit suffisante pour qu’ils dépassent de certains types de lingerie. Ce n’est pas tout à fait du goût de Félix qui préfèrerait un abricot lisse quand il s’agit de le lécher avant de s’y répandre, mais il convient aussi qu’une chatte poilue est beaucoup plus obscène surtout si je décidais d’accéder à sa requête de m’exhiber et me faire reluquer sans vergogne lorsque nous sortons en tête-à-tête. Je crois n’avoir pas beaucoup de tabous et, sous un abord plutôt calme et romantique, bout un volcan dont les ...
... éruptions ravissent à chaque fois mon Félix. Félix n’a pas grand-chose à voir avec le Jugnot du film. Plutôt grand, chevelu comme un œuf, un rien bedonnant mais surtout une imagination lubrique au moins aussi énorme que son kiki au repos est rikiki. Qu’importe, au bout de quinze ans, je le connais sur le bout des doigts et je sais quoi faire pour le rallumer en toutes circonstances. Lui non plus n’a pas beaucoup de tabous, accro à la masturbation (en solo ou par mes soins). Assez branché SM, il ne manque jamais de lire et relire romans et BD sur lesquels il peut tomber ou acheter à La Musardine. Il ne crache pas non plus sur quelques doigts fichés dans son arrière-train. Bref, un jouisseur et un pervers auquel tous les jeux se rattachant au sexe et au plaisir illuminent les yeux. Or donc, revenons à cette matinée du 23 novembre. Comme tous les jours après ma douche, je déambule nue dans l’appartement à la recherche de la tenue du jour. Ça peut prendre une, cinq ou quinze minutes en fonction de mon degré de motivation et d’envie d’aller bosser. Ce matin, mon choix s’oriente vers une jupe courte à carreaux, un pull, de la lingerie rouge, un collant et mes cuissardes. Débarrassée de quelques kilos superflus, je me sens revivre et en mesure de laisser mes sempiternels jeans au placard. Je commence par enfiler mon soutien-gorge (au grand dam de Félix qui voudrait que je l’oublie de temps en temps) puis me saisis du string. J’enfile une jambe puis subitement je fais marche arrière. Je ...