1. On a toujours besoin d'un plus petit que soi


    Datte: 12/05/2021, Catégories: fh, inconnu, taille, poilu(e)s, train, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme

    ... pour que le train redémarre car je sais que s’il parvient à ses fins, je m’expose à d’autres conséquences. Bizarrement, une partie de moi lutte comme j’en ai toujours l’habitude et une autre plus vaporeuse m’échauffe les sens car cette main, pour étrangère qu’elle soit, sait parfaitement se diriger, opérer et trouver mes failles. Ce qui devait arriver arriva. Dans un ultime étirement des fibres de nylon, je ressens un craquement. Ça y est, ce fichu DIM vient de rendre l’âme. Non content de cette première victoire, le nain fait mine de retirer sa main et je profite de l’aubaine pour reprendre mes esprits et relâcher la pression au niveau de mes cuisses. Seconde erreur, et je pense que le nain est parfaitement conscient de ce faux retrait, car avant même que j’aie pu me remettre en position de combat, il profite de la béance de mon collant pour passer sa main dessous. Il est maintenant parfaitement installé, caché des autres occupants du wagon et à moins de faire un esclandre, il ne semble pas du tout prêt à retirer sa main. D’ailleurs, les premiers gestes de ses doigts en attestent. Plaqués sur ma toison, je les sens maintenant à la recherche du sillon qui va les mener jusqu’à ma grotte. Je devrais dire mon marais car à force d’être titillée, mes sens se sont échauffés et ma propension à me laisser faire prend clairement le pas sur ma hargne habituelle. Lentement et à la fois avec douceur et fermeté, il continue ses investigations jusqu’au Graal, il vient de trouver mon ...
    ... bouton et ne manque pas de le frotter entre ses doigts. Ce coup-là, c’en est trop. Je ne peux plus résister et c’est résignée que je desserre l’étau inutile et lui facilite les choses. Le malin est aux anges. Alors qu’il avait pris soin jusqu’à présent de garder la tête baissée, il la lève maintenant et me regarde fixement pendant qu’il continue de me chauffer. Abandonnant mon bouton prêt à exploser, il poursuit sa route jusqu’à mon marais. Je n’oppose plus aucune résistance. Au contraire, je me cambre un peu plus pour lui faciliter l’accès. D’abord, un puis deux, ce sont finalement trois doigts boudinés qui prennent place dans mon intimité. Je suis sur le point de défaillir quand la sirène retentit, nous informant d’un prochain redémarrage de la rame. Il ne lui reste que quelques instants pour achever son œuvre. Il y met toute sa fougue, sa perversité et, de mon côté, je m’ouvre autant que possible tant et si bien qu’il parvient à y mettre un quatrième doigt. Ceux-là me ramonent comme nulle autre bite, et de son pouce il exerce des pressions sur mon bouton. À l’instant précis où le train entame sa décélération, je jouis dans un orgasme intense. Le train s’immobilise, je me stabilise, le nain se désenlise. L’air satisfait, il croise mon regard vide de sens mais plein de sensations. Le wagon commence à se vider, nous gagnons le quai côte à côte et je constate que si la nature l’a desservi par sa petite taille, elle a compensé sous la ceinture car son pantalon laisse apparaître une ...