Anne-Élizabeth et le « phénomène cougar »
Datte: 12/05/2021,
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Anne-Élizabeth était une femme désespérément triste. Pourtant, son incroyable beauté aurait pu lui prêter une vie agréable avec un mari aimant et une famille toute aussi attachante. Eh bien non. Son mari était décédé d’une longue maladie et l’avait laissée seule avec son fils unique Benjamin, 20 ans. C’était un fils serviable, très gentil et studieux mais qui ne remplacerait jamais la présence masculine indispensable dans la vie d’une femme active. Anne-Élizabeth venait de fêter ses 43 ans et étonnait tout le voisinage par son célibat. Une matinée de février, lorsque la mère de famille s’assit sur son canapé, elle alluma la télé. Ce jour-là, un reportage s’attardait sur le « Phénomène Cougar », un nom donné par rapport au petit félin qui chasse ses proies. Apparemment, des femmes de son âge pouvaient avoir recours à desescorts boys, véritables jouets sexuels des clientes. Elle fut immédiatement attirée. Cela faisait une année entière qu’aucun homme ne lui avait fait l’amour et elle était réellement dans un état de manque critique. Elle n’avait cherché aucun petit ami, les hommes de son âge n’avait ni sa fraîcheur, ni sa vitalité. Aucun ne correspondait à ses attentes. Elle se dit alors que peut-être, avoir une relation sans lendemain serait bénéfique à son manque de relations. C’est sans surprise que Bambou, le chat d’Anne-Élizabeth, observa sa maîtresse se ruer sur l’ordinateur du salon. Le félin bougea nonchalamment du siège qui se trouvait devant l’écran et migra vers ...
... le canapé où il continua sa sieste. La quadragénaire tapa rapidement « ESCORT BOY LYON » et tomba sur tout un site dédié à cela. Elle ne trouva rien à son goût. Les hommes étaient tous aussi hideux les uns que les autres et tous semblaient vouloir utiliser une prétendue beauté pour pouvoir faire l’amour tout en étant payé. La mère de famille finit par éteindre l’ordinateur en soupirant. Quelqu’un qui aurait regardé Anne-Élizabeth à ce moment-là aurait très certainement compris l’état de détresse dans lequel elle se trouvait. Cependant, ce n’était pas le genre de femme à se laisse abattre. La journée avait bien commencé et il était temps de faire les préparatifs pour la soirée. Elle avait, en effet, invité ses meilleurs amis et leur fils à dîner. À dix-huit heures pétantes, le carillon de la porte sonna. Anne-Élizabeth s’était habillée en tenue de soirée, quelque chose de « chic décontracté ». Ses longs cheveux bruns étaient lâchés et ricochaient avec des yeux verts de félin. Sa stature était très féminine et attirante pour quiconque. Ses ongles légèrement vernis faisaient écho avec une broche argentée qui représentait une rose. Sa tenue n’était jamais négligée car l’apparence comptait beaucoup elle. Lorsqu’Anne-Élizabeth ouvrit la porte, c’est avec un large sourire qu’elle accueillit ses hôtes. Ces derniers étaient tout aussi bien habillés qu’elle. La petite famille s’avança : Catherine, la mère, Ludovic, le père et Romain, le fils. Elle remarqua ce dernier, particulièrement ...