Anne-Élizabeth et le « phénomène cougar »
Datte: 12/05/2021,
Catégories:
h,
fh,
hbi,
fplusag,
voisins,
grossexe,
grosseins,
chantage,
Masturbation
facial,
Oral
préservati,
pénétratio,
... sans aucune forme de politesse. — Ah, oui, les seins… Aaah… dit l’amie de sa mère. Romain les malaxait puis les reprenait en bouche sans arrêt. C’était une zone sensible chez toutes les femmes mais l’effet était décuplé sur quelqu’un n’ayant pas fait l’amour depuis tant de temps. Le jeune homme jouait comme un enfant avec son nouveau jouet. Romain commença à descendre vers le bas du corps de sa partenaire déjà perdue dans des gémissements de délectation. Son vagin n’était pas rasé mais cela n’empêcha pas Romain d’y introduire sa langue avec fracas. Il était expert en la matière et fit décoller Anne-Élizabeth en un rien de temps. Elle arriva à décrocher une phrase : — Mon dieu, mais tu es un véritable chef ! Continue comme… ça. Romain n’était pas vraiment à son coup d’essai avec le cunnilingus et appréciait en faire à ses conquêtes. Même si c’était très certainement immoral de faire l’amour à la meilleure amie de sa mère, il ne pouvait pas laisser son secret dévoilé au grand jour. Sa mère, très conservatrice, catholique pratiquante, ne l’aurait pas supporté. Cependant, ce n’était absolument pas la seule raison. Romain était très attiré par ce corps de rêve à l’âge qu’avait sa partenaire. Elle était magnifique, bandante à souhait et il se régalait de la soirée qu’il allait passer. Le jeune homme avait de très nombreuses expériences sexuelles et savait faire l’amour dans l’optique de donner du plaisir. Romain continua à lécher sans relâche, insistant sur le clitoris de la ...
... quadragénaire. Cette dernière hurlait, gémissait sans pouvoir faire grand-chose, totalement engloutie par le désir. Dans un moment de lucidité, elle se releva, poussa gentiment Romain puis l’invita à se lever. Le jeune homme était grand et très beau garçon : ses pectoraux jaillissaient, ses bras étaient un régal et ses abdominaux constituaient à eux-seuls un véritablement moment de plaisir. Elle lécha cette musculature rêvée et s’agenouilla devant le tissu qui cachait sa verge. Anne-Élizabeth enleva doucement le boxer et reçut en plein visage l’imposant engin dont Romain disposait. Sa verge était épaisse, sans prépuce, coiffée d’un gland violacé énorme. La mère de famille ne savait pas si sa vision déformait la véritable taille mais Romain était incroyablement bien monté. — Ça fait bien longtemps que je n’en ai pas vu une aussi grosse dit Anne-Élizabeth, envoûtée par cet objet. Elle eut un moment d’hésitation puis se lança. Elle prit toute la verge dans sa bouche et commença à la sucer. Romain eut un gémissement rauque d’étonnement. Il s’attendait à ce que la femme mûre soit moins rapide mais il ne savait pas à qui il avait à faire. Anne-Élizabeth se transformait en une prédatrice sexuelle redoutable, prête à tout pour étancher sa soif de beaux garçons. Avalant goulûment la verge de son amant, la mère de famille était déterminée à lui faire une fellation inoubliable. À l’époque où elle était encore mariée, elle était particulièrement douée. Et en effet, Romain fit l’amère ...