1. Baby-sitting (17)


    Datte: 13/05/2021, Catégories: Transexuels

    17 Ghislaine se coucha sur moi en plaçant ses cuisses entre les miennes. Je sentis l’une de ses mains m’écarter les fesses et la vis se reculer pour appuyer ce sexe que je sentais soudain énorme à l’entrée de mon anus. J’avais peur d’avoir mal, peur de l’inconnu, et en même temps, j’étais maintenant sûr de vouloir la sentir au plus profond de moi. Karine m’avait par ailleurs suffisamment chauffé pour que la pression exercée par Ghislaine fasse son effet : elle venait de me pénétrer et commença à bouger doucement. Ma respiration était courte, mais les gémissements que je poussais n’étaient dus qu’au plaisir de plus en plus intense qui m’envahissait au fur et à mesure que je me détendais. La douleur s’estompait petit à petit et ma verge redevenait dure. Mon regard ne parvenait pas à se détacher du miroir : j’y voyais Ghislaine couchée sur moi, ses cuissardes qui me caressaient les cuisses au fil de ses mouvements. Je m’y voyais, je regardais mes bottes ainsi que la mini-jupe un peu retroussée par son phallus artificiel qui me plongeait dans les entrailles. J’y voyais aussi Karine qui se masturbait furieusement en se pinçant les seins avec sa main libre. Elle maintenait ses grandes lèvres écartées avec l’index et l’annulaire et son majeur s’activait sur son clitoris. Ghislaine amplifiait ses va et vient en moi en soufflant mon prénom! Je sentais son souffle sur ma nuque. Je lui criais : — Oui, continues, prends-moi… Je vais venir! — Oh Sam! Je suis en toi. Je t’encule, moi… Oh ...
    ... mon Dieu! … Tu la sens, dis, ça te fait quoi? — Je la sens bien, oui. Ca me fait… Oh oui! … Ca me fait que je suis ta femme, continue! Elle me parlait doucement, mais je devinais qu’elle avait énormément de mal à contenir son excitation. Son souffle à elle aussi s’accélérait notablement… La tête rejetée en arrière, Karine avait complètement enfoncé son majeur dans son vagin et agitait frénétiquement sa main droite. Le gode coulissait maintenant en moi sans la moindre difficulté, je connaissais une jouissance comme je n’en avais jamais connue auparavant. Je gardais les yeux toujours fixés sur la grande glace, ma gorge ne laissait plus passer que des gémissements de plaisir entrecoupés deux ou trois fois de "Je suis ta femme". Ghislaine s’arc-bouta sur les genoux pour s’enfoncer en moi jusqu’à la garde. Je poussai un vrai cri. C’est alors que, complètement prise au jeu, elle m’appela Jo-Ann et que j’atteins l’orgasme! Elle s’écroula sur moi, et continua à se tromper de prénom : — Jo, ça va? Je ne t’ai pas fait mal? — Non, ça va. Et toi? — Hûûûm! C’était tellement bon… Oh oui, j’ai aimé! — Moi aussi, finalement, je dois reconnaître que j’ai aimé! — Et bien, tu es femme presque autant que nous deux maintenant! Finalement, c’est bien ce que tu voulais. C’est Karine qui avait prononcé cette dernière phrase. Sa main reposait encore sur sa vulve et elle avait, comme Ghislaine et moi d’ailleurs, les cheveux collés au front. — Oui Karine, je crois bien que c’est ce que je voulais! La ...
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