1. Baby-sitting (17)


    Datte: 13/05/2021, Catégories: Transexuels

    ... main de Ghislaine dégagea doucement les cheveux de mon cou. Elle m’embrassa très tendrement en commençant à se retirer lentement de moi. Je bloquai ma respiration pendant toute l’opération. Quand elle se fut totalement dégagée, je me retournai sur le dos. Je lui tendis mes lèvres, m’accrochai à ses épaules et entourai mes cuisses autour de ses hanches. Je saisis sa queue pour la faire passer sous mes fesses et lui dévorai la bouche. Puis je restai un instant immobile, profitant au maximum de ce moment particulier. Karine s’allongea à ma droite en se collant à moi autant qu’elle le pouvait. Je gardai les yeux fermés et sentis sa bouche chercher la mienne. Sa main gantée caressait ma jambe tout autant que le cuir de mes bottes et de la mini-jupe rouge. Petit à petit, elle concentra ses caresses sur l’arrière de ma cuisse, essayant d’approcher au plus près mon anus. Je devinai assez vite ce qu’elle avait en tête… hthllcd Au bout de quelques minutes, "devinant que j’avais deviné", elle me souffla à l’oreille : — Sam, je t’en supplie, dis-moi oui… — Oui, Sam, je suis sûre qu’elle fera doucement et que ça te plaira. Vas-y. Laisses-toi faire… Ghislaine se défit doucement de notre étreinte. Karine en profita pour embrasser ma fausse poitrine et promener sa langue sur mon ventre. Nous regardâmes tous deux Ghislaine s’allonger sur le dos, écarter ses cuisses fuselées et retirer de son vagin (en profitant de l’occasion pour se redonner un peu de plaisir) le sexe en latex. Elle me le ...
    ... tendit et me proposa de l’enfiler moi-même à Karine qui se laissa faire. Laissant Ghislaine mener les opérations, je me laissais guider. Elle me fit me tenir debout, jambes écartées et bras en appui sur la barre qui courait le long d’un des murs. Elle se colla contre mon dos, me caressa tout le devant du corps, partant du cou, s’attardant longuement sur le soutien-gorge, pour finalement descendre jusqu’à mon sexe qui avait retrouvé à présent toutes ses facultés. Elle fit prendre sa place à Karine, mais fit passer le gode entre mes jambes avant de s’agenouiller devant moi et de prendre en bouche tour à tour ces deux phallus. Karine bougeait lascivement, et je sentais son gland me caresser les testicules. En même temps, elle m’embrassait dans le cou en me disant que j’étais belle et qu’elle avait envie de moi… De son coté, Ghislaine faisait tout ce qui était en son pouvoir, et Dieu sait qu’il était grand, pour faire monter mon excitation! Tant et si bien que je finis par dire "Prends-moi" à Karine qui n’attendait que ça pour se dégager un instant. Ghislaine enduisit de gel la pointe du gode qu’elle guida ensuite au bord de mon orifice. J’avais eu tort de craindre que Karine agisse avec brutalité. Au contraire, elle s’enfonça en moi avec douceur, tout en me tenant fermement par les hanches. Le souffle court, je me regardai à nouveau dans le miroir : j’étais là, jambes tendues et écartées, et à nouveau, je profitais du spectacle de ma sodomisation. Cette position me permettait de ...