1. Educatrices Ch. 06


    Datte: 14/05/2021, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur,

    ... que son anus soit re-poussé vers l'intérieur, le légume n'entrait pas. Déjà ses trois adversaires se réjouissaient quand le muscle annelé sembla se retrousser épousant la forme oblongue. La tête du fruit était passée. L'anus prodigieusement dilaté, Françoise s'accorda un instant pour souf-fler, la douleur irradiant son muscle malmené s'estompait lentement. L'opération paraissait cependant encore invraisemblable, quand dans un dernier et violent effort Françoise se poignarda véritablement les reins. Un cri de souffrance inhumain sortit de sa bouche, la figure ravagée par la douleur elle ne croyait pas encore en son exploit, et pourtant l'énorme légume avait disparu jusqu'à la racine dans sa gaine démesurément élargie. Elle se sentait comblée hors de toute proportion, son intestin ne pouvant s'habituer à une telle plénitude elle s'effondra en sanglotant sur le dos. Ebahis, enthousiasmés par l'exploit les trois aînés se précipitèrent pour la débarrasser de l'énormité qui risquait de léser sérieusement son trou, ils ne purent l'attraper. Heureusement le cul béant permit à Miloud de visser un tire-bouchon dans la pulpe et d'arracher avec un floc sonore la bonde qui lui déchirait les entrailles. Sans même mesurer le monstrueux légume, les quatre points lui furent attribués. Les autres cucurbitacées extraits, puis mesurés, Charles inscrivit le score définitif , les trois cadets le regardaient faire impatients de savoir laquelle de ces belles putes leur serait dévolue, pour la même ...
    ... raison les trois femelles en concurrence pour la dernière place suivaient ses ges-tes, l'air craintives. Le score décisif était maintenant établi : Fabienne 16 Françoise 17 Murielle 19 Sylvie 18 C'était donc Fabienne qui serait livrée à la folle lubricité des trois pu-ceaux, qui contenterait tous leurs instincts même les plus pervers. Les trois jeunes se réjouissaient, la belle bourgeoise, à l'allure guindée leur convenait parfaitement, les yeux luisants de convoitise, ravis de leur soirée ils l'entraînèrent, abasourdie, sans réaction, vers leur chambre. Enchantées de leur performance, qui leur évitaient de se voir livrée aux trois jeunes puceaux pour combler tous leurs désirs, les trois gagnantes, se relevèrent, péniblement et escortées de leurs maîtres gagnèrent leurs chambres respectives. Pour elles non plus la soirée n'était pas terminée, échauffés comme ils l'étaient leurs propriétaires seraient difficiles à contenter. Dés la porte franchie, Gérald, Mohamed et Robert arrachèrent, plus qu'ils n'ôtèrent leurs vêtements. Ebahie, Fabienne contemplait leurs jeunes virilités dressées comme des mats. Pour tous trois la nature s'était faite généreuse, malgré leurs jeunes ages ils arboraient des flamberges qui auraient contentés bien des adultes. Impatients ils se jetèrent sur Fabienne, la palpant, la griffant, lui mordil-lant les pointes des seins, lui tirant les poils du pubis, affolés par le désir ils ne savaient pas trop par où commencer. Enfin Gerald s'allongea sur elle, il ...